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Z/’Apocrypte bato. .
( Jpoçjyptes batQ, nob. ; Hamilt. B pchan., pl. ^7,
La première, des éspèceséde Buchanan, quil nomme
b a to , semblerait, par s'es.farmes'et ses vingt et un rayons
à la seconde dorsale , rép o n d re z poTssbirdont Gronovms
a donné fefignre (Zoph.;pL 4, % 4>5 maisJ “ k “ PP??-
tant .mal à p rop# au gobie,lanceftf d’Amérique ^cependant
il lui représente .dés-écailles, dcflntcelubdpBuchanan
serait privé,-où n’ep] aurait dumoinïque dc'beaucpup plus
petites, eî™ s.nageoires ont aussi d’autres proportions.
Le bato, d’a pX Buchanan* a le corps.gfasrni, nn peu trânsp.-
™nt sans écailles, d’un vert pUe g dsgWa.spjpde naqgbfsnx
poiùts noirs, bbrnof en devons, a r ^ t é s aux flancs^»® n o i r e s
dorsales sont aussi ponctuées. - ' 11»
Sa langue_aà!ssa. base le même oenûement vert et dore que celle
du kobius lanceolatus d’Amérique. | g g ' ; * B jK * '' . • .
• D’a r e s la figure (p i ‘sa hauteur exprès d f tix fins
dans sa longueur, dont la tête prend un sixième et la candie deux
septièmes. So t oeil est placé au tiers antérieur de la tê té p ^ d e .I a
lisne de profil, et,* partir <|elà en avant, cette’h g ^ e ^p ;u r> .e en
cmart de éercle. La mâchoire inférieure est un peu-plms ƒ ourte .
q Sa première dorsale n’est pas plus haute que seconde^et celle-ci
„’occupe qu’un peu moins du tiers de sa longueur totale. Ses
nombres sont : D 5 _ 211 ^ S etc.
Èest un petit poisson de cinq pouces, qui*s|«buYe âux
embouchures du Gange.
Le aobie dont Gronovius donne la figure a, avec les nombres et
la forme de tête du G. bato, sa deuxième dorsale plus étendue en
j. Pôiss. du Gange,*p. 4o.
CHà& .‘M . AP©iC;RYPT#S.- 4 0 9
m longueur j elle/a près ^meûtié^dè celle du poisson, et sur la gravure
ù on lui a marqué des écailles!à peuaprès aussi grandes qu’au gobie
lancette d’Amérique.
; B.'S ii- 21; A-. l ^ e P 'l î ^
La fi'güreluFooiïrie ci'nVpoube&,et demi.
^eux M K »
sur ;'Ces’ûiidièatiQUs, si^{Piiv^ïtcel, n errions a ta ït envoyé
du Bengale un gobie, q^ui|iî<Q$g'p£i?ait donner un moyen d’expliquer
Èeurs dilïéfêh^ffiSest bie^feertamement le&^p.;
Il enJa.exa^ment,^inpmhres,.et^e&;fqrmeâJ, m§ds, jbq’est pas vrai
qUj’ili’se^; ''privSd’é.^lie^. : elles ?]St©nt plus]-pii tmpïp£f^fcI?é£Ls;'sous
] l’épidermeetpeut-être qu’a l'état dé, yid, ,e]llesj§ ènepre par une
, ? cojpçRe muq^]^kq|^i^^quiVeng!|léjC’Qrpls gli^saiq;’Qucûquèpetites,
on les ènlève^ msémfnt ^e|Iëi& fjprçtj pondes, finem’ent striees et .ciliees
à"- la* paFÜe/jvisjblfey avec huît op dix ■ rayons eV aùtant de créïielures
au bord ^caLCep^antbÿQnoviqsl^sa-représentéestrop grandes
.. .et a un, peu trop' algpgÉteon ppis^on. -,'
L’oeil a le, cinquième .ç|e' la .longueur^ de 1? tete; il y a un-,diamètre
d’oeil entré lés yeux et jusqu’au Bout "du museau, lequel est arrondi
"dafis fe'dèux sèUtg. Latlitiuclid^ à* peu près horizontale, n?ést fendue
, /que ju’sqpq sôtxslle-milieu d^ïp^d;:^, prend1 qpe le quart de la
longueur de la tête. La mâehoire inférieure est un peu, plus cojurte;
il y a à chacune à peu près vingt dents fines, poinpies^sqj;une rangée;
ap milieu de l’inférieure-, un peu eù dedans, en; §ppt - d eux placées
sur un tubercule plus élève quéle bord de la mâchoire,
Z/’ÀPOCRYPTE CHANGU-A^’i
( Apocryptes changüa, nob.; Gobius changua, Hamilt. Buch,;
Eleotris lanceolàta, Bl.*Schn.)
Une autre'espèce, publiée par M. Buchanan, est son
gobius changua (pl. 5 , fig. i o), qui se distingue par les trente
ou trente et un rayons de sa seconde dorsale.