des salicoqu.es dans les petites flaques d’eau que la marée
descendante laisse entré lçsi Rochers';'et l’on en prend Souvent
aussi avec lés melets {clùpea sprattuS). ’
Aussi le trouvons-nous cité dans Turton1, dans Fleming*
et- dans Jjenÿns.* 3, *
M.,Yar‘ell4 en donne fine fort bonne figuré ;‘ èt il nous
apprend que ce p,q|it podsêfop remonte dans la -Tamise,
d’où les .pêcheurs le lui ont apporté soriis Ié nom ^de
Polowig ou de Poïljbait.
]\f. d’Orbigûyy qui l’a observé souvent <^an^ les r^ ê r-
voirs'des marais salans des environs de Ta Rochelle, .assure
qu’il"y établit sa demeure sous urte coquille, autour de
’laquelle il trace dans la vase des routes en rayons divergeas,
et pu il se tient en sentinelle pourguetter les petits animaux
qui tombent dans ces sillons. ISitôt,' qùil en aperçoit
un, il fond à l’instant'dessu-s et lempbrie?dahs sa dêmeJurlç.
On fm t que ces habitudes ne sont pas sans rapport
Moelle du go de Venise.
M. Beck ma appris que la femelle entreydans leCatejpt,
daqs le Liipfiord, en Avril .ei^ Mai’j ^pleine 'cTcéiXfè d’pne
grosseur extraordinaire et d’un bèaù faune.
Si lesp:èce'remonte'ainsi vers lp Mordy|etle n’a pas été
bien caractérisée par les auteurs qui ont écrit sur lifchtlpfd-
logie des côtes1 septentrionales. M. RetziuS et Faber lo-nt
confondue ayecLespece'que nous décrirons plüs loin s*pùs
le nom dè^godius. Ruthensparri.
'■Ées p e tite s^ creve^eslfçrment sa .principale nourriture :
‘on en trouve, presque toujours dans soH/éstomacr ^
l.BfiiFetiM, pi f a — 'Si-Hw/: of Brit, an.,' pi V ô f i -i l'SSr —
3. Man. of Britt vert, an., p. 5o6 j n.® 63. HI 4. Brit.-fishes, pita®8*
Le GiOBIE-Jt QUATRE .TACHES.- -.
( Çroèius guaSriÎTtabulaàisnob..) ■ -
'*>M. L&urillard a; ra p p o r té -d é Nice ùn p e tit g o b ie fort
semblable à la b u h o t te , ét q u i à le même nombre de
rayOns,' où même ènporê un de moins :
D. 6^—' 1/1Ô ou-9 1/10 oir%, etc.;
mais dont' la tê fë é s t un peu plus longue à proportion , et l’oeil de
près d’ufi tiers plus grand. Sa coulèùV est un fauve pâle, finement
pointillé sûr le ’dps^d'e 'brun -clair, ^SeS .dorsales et sa- cau d a le "sônt
couvertes de ‘très-petits pbirits noirâtres' et n u a g e u x $ les autres
nageoïre&sont blanches. Quatre tâch e s Tond es et noires sont distribuées
à égales distancesi le- long de chacun -de ses, flancs.
L ’ind iv id u n’a q u e trois, pouces.
o.'îé^spupçonne q u e^ é s tfic ile go'bius apliià d e là deuxième
éd&fâirt-dié M. Risso, p. 281 , q jiî, "ainsi q u e n d u s lavOns
déjà fait remarquer,-e*st entièrêméfft 'différent jde Yaphîa
de la: p rem iè re ,.p . i 5 6 j q u o iq u e l ’auteur cite c 'ç lu i-c i
comme identiqu e.
Raphia dont nous parlons^ celui de la deuxième édition y
<^t indiqué , cependam H comme ayant trqis tâchés noïfeS
del chaque côté’du corps-, «et sept rayons à la première
dors'ale. ( B; 7— Ry À; \ 0 ) , èé qui lé rapprocferaif* d S
l’espècê qui. vâsuiyré.
I l resfeemble a u s s ib e aù eôù p au m a fs iôn e de W illu g h b y
( pl. û y . 13 /fig- St}*, q u o iq u è c'ette.'fi"gure-ne montre- pas dé
taohjesi.Gest, à. ce qu’il paraît:, spr ce marsicme/-qu’il regarde
comme id en tiqu e aveèi Yaphja. de R o n d e le t (p. a r o ) , que
desbriptibn d ’où Artedi- et
L in n é Oitf...tiép,:qiour le £ o h i^ ,.a p h p a ; ’leur-'caractère de
dixcsèpt ra yoM'à la deuxième d o r sa le } mais’ je crois que Ce
t a.- ' WÊÊm 5