des antres espèces ;.le repli du.péritoine qui la soutient en dessous,
es,t fo?rt gpaisvgt -argenté Ve*? la partie postérieure. ’
j/fQtftmac.m’a paru trqsKpeüt.mais suivi d’un capal intestinal
long , £rôle et replié, nombre de foh sur lui^-uxêxne, et donnant dans
un réctum court, mais assez lame. Je dois cependant fqJre renjar-
quer que ees viscères n’étaient pas'bien conservés.’
Les, gruins de
r- .pavot;aik iofmaâent un^pq^jlQhuj^dpptda,pgrdq%pQSpfriçurq.se
partait |dans^bd.(^en;(au?d^R^de' ^ dn du je&uru.; .afrÿgU^Sjjire
a-t-il un peti,t, lobule, récurrent;, pour veni,r débouqher,,tqut près du
i cloaqpe. La papille géqitale c^e^jqetj;e femelle est développée sous la
. forme djiine languette charnue
1 p piîlîpii r pt 'découpée de.-cjbaque. côté,en fines dentelures. Lal^ce
, inférieurela papille est^eusée.d’un petit sfij-on- .,
Son.çr^pe pe .distingue, par ;^a grande saillie des lames( antérieure a
de l’9rbiie^^^[^e%,de. la crête, externe «ou temporale,
tandis, que la mitoyçqneiest jfcrt, petite, et que -^e^ inter-
* médiaires sont presque, entièrement effacées, Tl y. a,onze vertèbres
abdominales et quinze .caudales, comme dans rêléùlfistétà'rd. Les
côtes sont longues et assez fortes; ; .
: îï.os individus ne pas^pntpas s,ept pouces.. Ils npus ont
^.çnvoygs {le. la Martinique parMM, Plée^Garnoi,
3J Al dans les.eaip; dppges
de Surinanp par feu Le vaillant ,• qui : nous 1 a idoniieoiu
- Le iscicena maculata^de Bloch (pL 299) , que nous avdtos
eu ce montent sorts les-yeux,- n’est autre chose qü Un tres-
pelît 'ihdîyidu de gétteMéspëce', mal cbiifhr^é j* et altejé
dans fésr côuléürs. BÏodlt^ sèlotx £on. -
plus en grand, ft a transformé en taches bien terminées
les altérations nuageuses des teintes*,
L’espèce se trouvé aussi parmi les figures faites. au Mexique
, et que nous avoirs citées! plusieursfois; elle- y,porte
le l nom de gçbius striât us, <
L ’Ë l eOTRJS A dRXwpES ÉCAILLES.
Il a lpsf,écailles'(te‘da tête b^iu>éofi.p- plas-gra.ndes encore
qüe» Matois mulet:, eù sous;®©.'rapportnon 'momstque
parafe-forme de.son cèrps|.^resséf[iblé-en’coï^ davantage
aux muges'.'’
Vï>dn tronc est moins-Jelèyé èî\m’oa|i^com>pr.ime? ef Sa tète beaucoup
plus? déprimée! ^Èâûtéur ést pfès de ciûqÆffll dans sa longueur
est u’ün tiers qîpifûs large,que haute. my^te^est du quart
de la. longueur* totale r de^prés, dë^cwtiè' mpins haute- qué^longue.
Sa: lârgeûree^p!sa -hauteqr. sa fâcc §uperieiire est plane et
jpraieqec^ps-âussi graMes'^e èelles td^orps. i l ÿ en a égale-
ment demandes Wlir fe^ joues'et aux opercules- gtegt à peiné si l’on
eîi courte trente sur une lîgh'e depui^Buie jusqu’aux petites de la
basetdê;ra/*candalé? 'L’oëil®bGUpe sui'lélcolede deuxième cmqmeme
de'la lpngueur- de -il eitüra déi&’dikmèirestdé lîâutre. La fente
i deda bo^ebn’Ve^àspeiueîSusque-^ôu^AQ11} bord; antérieur. Les dents
. ,-fsqnt;en>vèlôùrs«Les:nageoij?esjS)alongenjt méinsquedansée isaqlefi La
caudale estf iarrondip^
"Notre mdivxdu^1^ ^ ^ ^ «Ensila* liqùeür d epuis long-terrfps,
paraît d’un brun, rq'uélâ'fne'foncé.’ Sa deuxième dorsafe-ét son-abale
ont dès tabbes’noirâtres, nuageuses, placées peu' régulièremerit.
Il est. long. dq cinq pouces.
Nous en ignorons Torigine , màis hous' avons sujet de le
croire d’Amérique commeleà précédé^.
’ iJ ’ÉLÉbTRIS | ÉMERAUDE.
1 OElèotris sinardgâus, *nob.)
. Ç’est une ç$pè,çe plus.alongpe qu’aucune autre, apportée
de Cuba par M. Poey., et. qui a 4-té appelée dans cette; jle