renflée j. son museau est obtus ; ses mâchoires à très-peu près égales.
Sa ventrale,est. petite et n’a que moitié' de lalongueur des pectorales,
qui ont le qû§.rt de celle du poisson. ,
Il ,y -a près de quarante écailles sur une lign.e longitudinale. Le
petit nombre des rayons_de;. sôn anale est reiùarquable. ,,
■ D. © —- 1/Ï&5 A. 4/T.
Le corps de ce poisson- est d'un jaune'verdâtre pâle, qui dans
la liqueur devient d’utt gris roüssâtre. Beaucoup d’individusr ont de
chaque içôté. hujt ou dix lignes verticales plhsîpâles.® y a quelquefois,
une tache noirâtre au-des/ùs de l'aisselle-de la pectorale.
Près-du bord de la première dorsale règne une bande moire ? la
, .seconde et la caudale ont dés points, bruns sur leurs rayons. ■
La longueur de cette espèce.ne passe pas trois poupes.
Ce poisson .paraît sujet à une maladie particulièrej^du
moins bfeàuopüp des individus venus du lac'Majëùr ont
sur le corps et sur les nageoires dre petits, tubercules noirs ?
semés irrégulièrement, et qui rappellent ün'peù ceux qui*
dans le meme .lac^. dans quelques-uns lacs voisins et
même dans la Seine., paraissent aux mois d’Avril e*t. de
Mai, à FépoquedU'frai, siir leeorps de diverses^espëeës-de
cyprins, et'qui -but" ou pigus de
Rondelet était dune espèce distincte;
DES, GO|EESv ^
D’après hë- que l’on vient de; Voir sur les gobies de nos
mers on comprendra à quel point les ; gobies ; etrangers
doivent, être nombreux.et difficiles à ^ypuper.. La; plupart
n’offrent point de caractère SUsceptiblolfseryM' à une division
générique, et leurs variations en diyers sens passent
si insensiblemen t lesunes dans les aUtiaèsq q u il est même
dffilfcileJi<Èé8aÉ!lk,;d'àû8-?lé'iptBre de bonnes subdivisions.
Urëd’èux'cèÿiehdantse distingue nettement gardes tentacules
aux sourcils ; un ou deux Outrés, par' une crête mem-
Bfahë^se ^ur'le^fbrtëxf c^râbièros qui rapprb èfièht; un peu
ceâroeui’ gt^6’^^%é^feûmieS^f Ixàùtrës sfr font* remarquer
par la petitesse» qxtrëme/dedeurs éÊâiUîesi d’autres ;pârf des
dents canines ; d’autres encore par. la prolongation d’un ou
de deux de leurs hayons dorsaux- en filament : il y en a,
enfin, que leur tête? de forme singulière, peut distinguer
plus ou moins.
LC’est d’apres cek' cohridérà^fbm que nôiis en disposerons
Dïiëtiiro, 'ian^ ^|ï^ibiïpés’ fOient naturels
ni a’âUtîbs Combinaisons que Ton
auÿ ait' p u ' "
Nbus mettrons cependant en tête lés' ëijfèêek les plus
semiblables«|t notre gdbie noir ou vulgaire. :
DES bOblES É’I’MîîQERS ,
de la forme du vulgaire, avec de l’effilé au2& pèöförélm/''*
Les deux Océans pqssèdent dés’ gobies^à têté’ rOnde,
obtuse^ à joues Véofléès.; à rayons* supérieurs dé la pecto*
raie ^^és^j^oipEae. d,£Ùis le Q. niger, pu le. G. capito.
' Lè GonrÈ dé Madère.”” '
( Gobius madërënsiïs j nob. )
, M. Riçhagdspn én a rapporté un de Madère, entièrement
semblable au,gobius niger de noscôotês, par les formes et
par les nombres : m
D. 6‘— 1/13'j AJ>l/12t; le* dernier double,
mais autrement . coloré dans la liqueuri %
1 2 .