duit; ils sont-bofdés;d’un repli de la £eau, qui formé une sor t|d e
euilleron. Ce sillon neparàît-pas communiqué ave«? eus ouvertiifes.
L’anus esCtrès-petit et en.avant de fepajlrlle; LsBféî&pet naédwrèj
a un seul.lobe et est situe en traversy un p eu :p lu s à droite fu ’à
gauche. Les autres viscères étaient^détruits.
J’ai, trouvé dans-i’abdômen des- déhris du nielania virgulata et
quelques individus-entiers;/’ < Bn 1
Son squelette ressemble beaucoup à celui d e l’éléotrife têtard 5 il a
cependant lê^ cèine^èf le front plus lafgesÿ-mais le crâne y est de
même-sans crête. Je ne compt^ que dix yçrtèbres, abdominales ; la
dernière 'a lès apophyses transversesTirés«- dilatées : toutes Ipffsüi-
L , vantes-Jîe$ .ont en anneaux. On pouwait ^ p e ^ m prendre la première
pour -une onzième abdominale pâlots il y en aurait quatorze
à la queue. >
Ce pmssonest très^Stimé à l’Isle-d^Fraace. On le mahge
en friture1. ; v ' ' V
JJéléotrfs noir de’ Wai'gi'mr y :dëefi;t:|ët} repréâentë^r
MM: Quoy et Gaimard dans^ le Voyage de M. Keÿçliiet
(p. a5a , pi. 70, fïg. 3}, c<m^aré;|cÉupMeq|^^
cabots noirs de Vlsle-pe^ram^, n’en diffère f h-rien. t
Je regarde Veleotris Mauritianus de M. ^nnçttd^Qmme
étant de la même, espèce.
; Z/ÉlUÉQTMS A TÊIE EJÔfiEUSrE. &
(jBleotris poroeerphala,, nobl) -
est un poisson qui^purrait être .comparé.à Yeleotris gran-
disquama que nous ayons décrit parmi le$ especesd Amé-
riqne, Cestun é l# tn sà grandes3^âilles,même sur sa-tête,
qui est aplatie j recueilli aux BliTbelles par M. Bussnmier,
et € fa ffdàvéledrtande par-MM* Qnoy et Gaimard,
1.- Zool. prod., >83o- *831, ?86*
Sa hauteur est du sixième de sa longueur, sa têleen prend le quart,
et sa caudale, pointue* a: la même propèiftion. En avant le tronmest
«aussi large que'haut/La tête, moitié moins haute que longue, a.un
tiers/de.plus en largeur. qu’en hauteur,1; itout le dessus -èn est plan.
Les yeux, d’un peu» moins du cinquième, de la longueur de la tête et
dirigés denô.tég^sont kdeux-diamètres et,un^ quart l ’un de l’atitre, à
ùrCdiâmètre ét ’demi du bout du muSeaul La bouche descend faiblement
en arrière, et/è'st’ fenduetjusque sousTlé milieu'de l’oeil. C’est
à peine si la inscdhoirè inférieure défasse i’autte. Les dents sont en
fin- velours ®ras, sur dédales’bandes. La narine antérieure, tout près
de la-lèvre, a un appendice-cutané^assez notable - l autre,, plus près
ded’cêil'jiiÉi;un simp,le,,tpo.u, Tpnn.êjf au-’dessusest un pore enfoncé.
Immédiatement derrière l’oeib est une; fosseneîqui donne dans un
petit canal aveugle, et le long du. ^ j'd rnonlani du préopercule
jsirnit quatre gros-pores, L’ouïe s'ouvre' jusque sous le milieu du
piréoperc&lè j ’ ’
La pretnière dorsale1 n’a que Tnqijâé de la hauteur; la'dèüxième et
l’anale sont «un peu hautes. Les pectorales, ont un peu ntqins .du
piqijui^nCî dç ,1a.longueur, et-les ventrales, pointues^ont encore
un p^qqiLus cQUEt^s.,11 n’y «a pasd’eüilé aux pectorales.
;B. ( 6,; D. .6 l&s demfersij^j'uKles';'1? et quelques petits;
Tfî
. ; Ilm’y a qt?e trente-quatre à trynlp/six éca,illes de l’ouïeà la caudale,
aussi larges que longues* un peu triJobé.es au bord radical,,et à vingt-
cinq rayons k l’éveçt|iiL Celles du dessus de la tête,, plus, grandes
même que celles au corps^spnt plus rondeset ontmôuls, dé rayons ;
^tesîd'ui donneôit presque' ikppârëntfè d’un1 opMcépnalls.
La • çqnl^ut' paraît entièrement brun roussatre, plus dair en
dessdùs. La plupaiâ; 9 es'-écaillés des&dtés’ ont’hh brun noirâtre à leur
base.;- ce quifa.it autant -de »petites taches,. maïs Tpêu marquées Là
premfëi^ dorsale est bran® la .-seconde, brunç aussi* a des points
d'un brun plus foncé sur èês ravôns, 'et"le bord blanchâtre. La
caudale est de ïàême, et.fes borda supérieur et inferieur’ sont blanchâtres.
Le bord’dê!l’atâàle êêt semblable, mais jé n'é-'teê vqis point
dé tachés, - -