; CH AP'. IV. BATRACHOÏDES. 3 5 3
les "deiix lignes que tous avons décrites, et on a peine à
coifrpter sans dissection les r a^Onsd'ës ouïes.
. M. Büchanattflà prîi^ cé polésÔDf'iiafë Bouchés‘du Gàü/ge,
elt il dpu5l iÿn^.ISîsiiltfo'ûL l’ëffrâie, iï fait totendre
juif^taqu^
M. Dfissprnije^dit qu’qq le mange a Bombay. Çet hafiile
,4ttçtoi05lr& la ^pgqpèp^, ppaisseor jdu
premier rayon de la veutraje^ et il pense' que le poisson
ppqt. fajgçe. le vide au moy£n<ie |<matemeut. d,e qe rayon,
ef se fixer aux corps sous-matins. f
L’espèce paraît donc habiter toutes lés parties de la mer
qeS| ifideSj .ina&^est^'flour ïhvltl! 0çohfôto
qjl’n ^ de; , qui vppt s^iVçq, qui pte^iie kjuf tes
natpralisfei tol KépItë qu’elie?sq trouViegaussi 4en Amérique.
Gefë nlest pas.vfeitidu moin&^e/l^câteiorrentialefoiiiatlan-
tiqup j oùl l’on trouve cependant une espèce 'dont la ressemblance
était de nature à faïre illusion.:
Le BATB^AtilrOÏqE, |gËHA jDçS^pmER. t
BdÈ'àchüs'JMisMitiiisri 'Jwmmf Ml 1
La mer .des Indes possède .uni autre batrachoidepiqui
diffère non-seulement par ses couleurs^ mais b ar des bâr-
billons beî^onp- tfïôlil#* ap|§ârëî#ët moins noiiibi eux / et
•||pt je lu id l1, que tfdi#ër<^f?fis et iWpëSênté
par rqèulïdf. M. Dussurnier 'Vient; de nous l’apporter de
la q u ile distingue pa^d^sus tput,
- «’test d’avoir a« pakisetàla m&ehéire mférieijïfeides bândesétt'Oites
de dents en velours, au lieu de dents fortes eti&nîquésNaii
’ If y a sept ou huit petits barbillons sous k^àefeoïi^infëi?îeurè •
uruatatrepassez petitÿ au bout du^ maxillaire ; trois à peine visibles
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