L’apophySèépineuse dés palatins, .qui saille'sur- le dessus de
la tête derrière le maxillaire, est courte'et mousse;, mais le préparateur
ayant enlevé totit le;erâne^ je ne puis rien-dire de jeeSdifférentes
partie? de la tête. Les filets deîk tête sont;êgalement enlevés;
on, voit, malgré l|ur mauvaise conservation, que lçs.,.trois,raypps
de la dorsale antérieure sont petits et en partie cachés isous la peau;
je ne trouvé que huit ou neuf rayons a la seconde.
D. 3 — 8 p;u 9; A. ; t>. 14 ; P‘. 23; V. 1/6.
Le voile de la mâchoire inférieure, qui recouvre la pointe de
la langue, est évidemment beaucoup plus large que dans auouh
• des individus d'Europe que j’ai vus. '
Là couleur, brune en dessus, est blanche en dessous. Le^dos est
couvéçtf 'de très-petits ocelles tfès-numbreux, et les ventrales sont
noires. L a coloration| de ees nageoires me^paraît aussi être canw>
téristique. ,,
Nous regardons, cette espèce; comme. celle que M. Mit-
claill a mentionnée dans son Mémoire^sur iesi poissons de
<3Sjew*-yoïk sous le nom é&laphiu& piscatorius* &
L a Baudroie a vqmer 'lisse.
(Lophius 'ùomerinus j nob. ) ;
Nous avons reçu'des mers du cap de Bonne-Espérance
deux baudroies, dont une nous paraît-, comme tan&d’aiitfes
poissons de cette rade’, semblable à ceux de riotrè mer
Méditerranée; elle n’a que huit ou neuf rayons I la seconde
dorsale.
La seconde, que l’on pourrait prendre au pfeïîïier examen
pour la même. ,3e^p£ce que cejlp de nos m ers j: s’en
distingue cependant par un caractère- remarquable, et qui
consiste dans l’abseupe de denjts je l’extrémité jdu. vpmer;
elle a, d’ailleurs d’autres caractères, plus difficiles;à apercevoir,
mais qui né constituent pas moins l’espèce.
Séiriblable ppur les||fQrmes ,geBépales jda tête eft . aplatieet sa
cirçonscniptiomhorizontale est à peu près circulaire. - Les .épines
■ süsorbitQires^utÿpjusmipepj etlesi|||^|itgsdescrêtesantérieiires
du crâne plus ftrblgSi-, ^ ,
’ Les dent^dl l’inlermaiiilarre sent plus petites'et plu? serrées,
' surtbüt' èÿflis ^ TsOïii:pFès; cle l’anffefde laMpcKef ilé ü !est de
, même' de;S dféfits palâtMë^%es deux teeU-antéHeu-rs, plaèés de
même,;S'Ont é peu*prfes^égaux, et* Ifebprêmfer ne fait que le quai
de la longueur totale. La îSijéehdê .dorsale et ,labiale ont chacttnt
. un rayon demoins, et la peetoraletipis.
D. 6.— 10 ; A. W- G>'8 ; P* 26; V. -i/S!
' ' La vpêaù ^ n u e^ sm s ^cailles / a* dFpombreuxIamhe^^frangés,
placés ^éqnhne ceux dfe^nofre et la couleur partit en d i t
Les visüèÉes ressemble«. aussi à ceux de la baudroiè de nos
mers: un'féie petit; un irèsé^aste estomac", très-charriu, ayant deux
• . appendices, eoe<3al,fs ?au pylorepmais qui uie .paEaissept plus l9pgues
qu’à. notre, espèce .d'Europe;, les intestins*, faisant deux repli?; il n y
a point- de yessi^ adnemieyles- reins sont ^&rts, épais^ojales, sem-
hlablâxi c^^la"n'âeffdàhslesvmourons] et situés vers le tiers supérieur
de *fÿî?démen. Peux longs'tyetères vont déboucher dans une
• • vessie urinairè' assez’ grande. '
L’indimduja ^tu erapyé^au Mus éum par M. .Terreaux ;
if est long (ie deux pieds trois pouces.
L ’une Baudroie des p^.ers; de la Chine et du Japon.
L a BaM'rote ëpïnM’sW
, s( Lophius W aM | '
Il est certain qu’il y av une baudroie dans les mers, du
Japon; iNous en avons pour première - preuve la figure