de son premier éléo tris, qui pourrait se rapporter au têtard
ou au guavina-5 mais"pe'm*Mêtr-e
à cause de la nudité et1 du renflement dès-; j©uêsl‘ÆV
Cest sur ce® articlesde Gronovius que Wathadm (t. III,
p. âo5 :) a établi s on tg&bius ammea^ et Gmelin son gobius
Pisohù qii©. Bloch1 metià la süite dé.sesi éléotris; en se
demandant si. ee \ne .serait/ pas un périophthalme,,' Ge||e
dernière eorijècture na aucun -fondement..
< Pison et.Mai^raveâeomparent eet amore piæumà slu ta-
moata (de callichte^ silurus callichtySjYim.) pour la taille,
la couleur et le goût, et Pison ajqute qu’il habite les étangs»
d’eau doitce.
. jL’É lÉOIT RI s GUAVl NA. ■
On trouve encore à la Martinique un élemris^iLy partage
le nom dè dormeur avec notre première espàçe. quoi-,
qu’il eii diffère beaucoup; mais noup avons.fait remarquer
qu’il sy^-donne aussi à d’autres goules et qleb'tris Jçpmme
celui dé guavina dans les.-colonies^espagnoles.« G’est précB
sement celle-ci qui a été représentée pur Parta (pV ^9,
fig. i)., sous, le’nom de guavina.
Sa- tête est'plus;gFpsse>; p:lu^I<^ûrte> plus f § o % s plus
j court, sa queue plus haute, ses écailles ph^peti§es, que dans i’éléb-
tris têtard. -
Sa hauteur êsrsix fois dans sa longueur. Sa queiÿ^quoxqûe'âoni-
prifhée jjest presque aussi haute que son;tronc. Sa tete a le quart de
la longueur totalehauteur* /jè&r dfeè^&^cîhqü&èiûésuè sa lori^
giieuri, et sa largeur de près de quatre cânquiîëtts. Ses, joiàés sbht
; renflées, sa mâchoire supérieure bombée ,1’inférâèure' un peu plus
’ avancé®, leu# <èi*è®hscriptibu tmnsverse ten» aré;démoiBe d’imdemi-
. * cepélèÿl’oeil1, dlun huiiièsme ;de la d©oe^Héar>de la tête, àideuxidiamè-
- h-es? du b'out durninseauv jv/fBéÔBr vlia'aaaa^ijie
postérieure eskiout-prè^derikeil ; K^pitine- tout*-près du rebord sous
. lequel irentre 11) màssiilairel s-: eefe«ëi}>a;Titn »rèérpetlt tendaeule. 3Les
; dent5s;soîit en: velours hièn. plus isissquefcellef de féléoiris têtard.
Il n-y en a^ucune au v,orner.1 §a»pjreiiiièflêcdsQFsalèmïajpas tout-à-ffait
moitié de-la hauteur du çorps^ lkj^cpnde en a les deux tiers ses
derniers rayong's^alongènt un petu en pointe : banale lui répond sous
tous les rapports! Les autres nageoires ne diffère'nt/pqint de celles
! dé; jdotrê-'prëmiece espèce; ' 1 ' ’
B. 6 ;D. 7 dif/l'0'fA®l/10», le’ dërâier double ; G. 15-et quel qu es "petits j r : 16;
V. p P û
i-.lLy.a plus de.quatçe-rihgt^dix"écailles sur une'fïghe entre rouie'
1 et la.cauaale, et près1 de quarante sür u%e iltene yë'rt?calei au Ventre
elles deviénnent fort petites : la têtd enVâ’ffts'que dbtft’pres'dù bout
? du^muséâh.lv6 fesiê<raillë^"fon-t arrondies’ WAint au -milifeu un cercle
lisse j duqiief part enfles rayonside l’éventail;, aunotebre de plus de
rijîgt, pour plus de moitié-;d:e fla^flpçnféF^nce.-
.T>ou^jge.pofissop^ est d’un br-un fonpé noirâtre, plus clair, çt un
peu,.rou|sâiæèf^Ja;gqrge^,à.la poitrine,e.t'au ventre. Les, ifajgeoires
sont presque^noirçs; oTi tachetées et ppintillées denoir sur un "fond
noirâtréi^y a du gris blanchâtre au bord de la deuxième dorsale,
de fanale, des ventrales et^ui bords supérieur _et. inférieur de la
1 >caildâle.*‘
Cettq -espèce^ ayaitplp^ yi^çgrçs miemt x^merv^és <;que la
précédente ; jdle m’a ipop|j,é.Jqnf9,, ;
le foie-est très-petit et réduit à un seul lobe-sous l’oesophage., lequel
est large à son MÛnney itMsér^é^lrit,en,%i«riëre^ def^arte qu’u»
étranglement L’estomac à cet endroit
semble se boursoumer pour embrasser la base de l’oesophage,
c; Lia ctfosSey qui! est grosse et roüde ; est dans he côté gauche du ventre.
.tL’estomac se, porte, ensuite daps l’hypocondre droit et se rétrécit
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