I4 auteur compte les rayons : i
B. 4.; D. i l — m A. 13; C. 18; P. 10; V. 6/6.
Nous avons fait remarquer plus haut que Linné les
change sans en dire le motif, et met:
D. 6 — 14; A. 18, etc.*'
en même temps il regarde l’espèce comme identique avec
le gobius nigerj mais il est, très-probable qu’il avait * sous
les yeux un polisson différent d© celui qu’Osbéck a décrit :
la seule caudale pointue empêcherait que l’on ne rapportât
ce dernier au gobius niger. #
Osbeck observa ce? poisson près de Canton, avec>Bélui
que, nous avons décrit précédemment sous le nom à’apo-
cryptes pectinirostris. Les nattes tendues lors du reflux
en retenaient beaucoup qui sautaient sur le fond laissait
sec, oui Renfonçaient même dans la. vase pour échapper
aux pêcheurs.
Ces deuxjpoissons forment av^c le riz. une partie ©ssea-;
tielle de la nourriture des pauvres.
Le P ér io phth a lm e a tr e ize rayons-
(Peiiopltthalrnus tredecùnradiàtus, nob.; Gobius-trvdecùmà-
diatus, Buchân.)
J’ai tout sujet de croire que le gobius tredecimradiatus
de Buchanan * est aussi très~vojsin de ce p ériophthalme
Kcelreuter mais il semble en différer spécifiquement
Il a les caractères généraux des pénophthalmes : des dents fortes ÿ
droites, séparées. Ses dorsales sont rapprochées; le premier rayofe
de la première nageoire du dos est double de la hauteur* de1 la
membrane; les autres ne la dépassent pas. La ventrale est profondément
échancrée.
S. Poiss. du Gange, p. 48.