Le Gobie : pjhalène. ,.
w8Ç Gobius phciloenci , nob.)
Cette espècej fort semblable à. la préct^entE, a ete rapportée
de^Vanikolo par MM. Quoy et Gaimard*
So'à êorpsr^ ^ yf|iiïê f ë ^ e qiie le G. papilio, a. -lei? iàê&ies
nombres {D. 6. — 1/14 ; A. 1/I4)etles mêmes écailles. Il est brim
fbricé. Trois séries de points'Où de lignes nacrées occupent la jbue
•et l’opercule. Dix lignes nacrées, disposées par* pairèsyy remontent
du yèiitre vers le dos, ; où leur teinte s’affaiblît. L espace entre^ïés
î lignes de chà<pie paire est plus large et plus poir-qué les intervalles
.des «groupe?. La ptemière paire répond an mibeu de la ventrale;
la cinquième est à ja base de.k caudale.. Cétte nageoire a une tache
noire.au même endroit que dans l’espace precedente j, c est - à-dire,
près de sa base e‘t de son bord supérieur; de plus, elle est blanchâtre
et bordée tout autour de noirâtre.
La première dorsale ept brune, et a une tachç noire et ronde,
entre le quatrième et le cinquième rayon; la seconde, brune, aussi,
a un bord hlanchâtre suivi d’un bord noir. L’anale n’a que le bord
noir et est brune, ainsi que lés pectorales et la ventrale.
Notre individu est long de ttois pouces.
■ L e G ob ie :sphykx. ïy
(Gobius sphjrnx» nob.)
Les .mêmes, naturalistes ont apporté .de la Nouvelle-
Guinée un gobie- qui se^rappioche. be^uepup des. deux
pi’éccdens,. %
Nôtre individu a la canine latérale, mais lesrayons de sa première
domié ue soptepas prolongés. Ses nombreg sont les mêmes*
. D. 6 -r i/Hi-k'. 1/14.
fl paraît d’un gris-brun argenté , avec- six larges bandes verticales
brunes, dont la première est à:lâ nuque; là dernière a la base delà
.caudale. Des pôints nacrés, disirés- de br.un, se montrent, sur les
joues? sur 1 opercule' et surles bandes brunes. Le ventre est borde
par dôüze drini-cercles1 où lignés'#naèrées, rapprochées par paires,
qui ne remontent pas 'âù - delà' du tiers* de la haùtëur du frônC : les
■ premières ri^pônd'ent ù basé dë. la /pectorale, la derUieré touche a
l ’anuS'. La caudale a près de sa>base, fers Json bord supérieur, un
point hoir'entouré d’un cercle hlanc. i f rfy a pas de- taèhé à la première
dAïsafè; qilî est gVis’e ; mais les trois autres nâgèojVes ferticales
ontïur un fond grisâtre des tachèsrirànspafèntes-.rondes, entùùr.ées
d’un lisérés'brunâ'trê, et1 qui forihent plusieurs séries. Il y en a de
semblables en travers de; la ventrale.’ ‘
Ce joli pofespn est long'de 'trois"pouces, et demi.
L e G orîE c h i^ o ïs .
( Gobius sînehSiSj, nob.1; Èoswôhh Chinois„ Lacép.)
f C’eSt très-probablement près dve ce'sphynx que
être.placél.fersqu’onje1 connaîtra miçux, un poison représenté
dans lps peintures chinoJs#s.'*de la bibliothèque du
Muséum; etripie M.- de'Éfetepède aura emprutit^pOiir faire
son bostriche chinois (t. IIIVp^ .*4* , pl. ,
■ C'est bien sûrement un gobie d’après l’ensemble de sa
conformation; mais on ne peut voir .sa ventrale ni compter
le nombte des rayons de.ses autres nageoires.
a|| Sa couleur est un gris olivâtre asge^ uniforme j. et il a. sur la base
de sa caudale Une tache ronde, bleue, entourée d’un cercle rouge-
La figure le représenté long de cinq, poùces. :
L e GQBIEi yV^ CJN,Q OCÇteLEg. :
- (Gobius qiÙTjjqueocellaluSi nob.; Gobius semit^oniatus, Ehr.)
"Nous trouvons dans les figures exécutées à Massuab par
M. Ehrenberg, belle d’un petit gobie voisin des précédens,