édition ( t. I I , p. *9# ^ et qu’iiuavaitp'*établi -pour placer
deux^'éotrisfdont Blôch^t^aiî ïfaïit des s c itiè s , ssPns qu’ils
eussent aucun de#1 caraêrèrés essentiels de peftg famille.
■ i J’ai rWit'^iî^rMbdnè^'^ » e 3^ hâtions « tPhbs ’ jgetédrs,
qui* n’auraieÈt pu 'gàris^laf ^e^t^ud^ rafëon déf|phan|f®--
mens q;ùi semÉlênrie^ exister.'dans laÆmétbode que m’a
tracééle grand ifâ«®raliit® deil^P*i|)éÉnue^hpsliivEÉUX--
DES EL;EÔTRTS*\Êïéojrïs , 'Gr bnl).
; Cet genre ressemble a celnbdës goMès presque ;en toutes
choses» si êe- n’est qætè%es‘Centrales "sont sépales tet*que
ses ouïes* ont îsix^r%oiîs;i du- reste il ades*mêmes nageoires,
Tés mêmes intestins, le mêntfefcblale-dérrièreïfàüns et en
gavant dé l’dfificejjënital. fl^pïe'seüte dés wria£ions;cbîres-
pohdânte® .'dans lès^fofmesvgénérates^ tes proportionsf et ’fe
configuration des«.nageoires pslâ* grandeur des1 écaillés,, des-
tegninens'de M .tête;'1 la plupart'de eds 'espèces*-©ntmême
dés cbulëurs obscures^plus ou moins arMogufes a célîes des
gobiés* En un 'mot ;• la ?res^nblanê®èe -efes deUxjgenW^i^St*
telle, même pour les habitudes, qu’ilà onfêreçudes. mêmes
noms, celui de dormeur ou I <¥ endormis dans nos félonies
françaises;;- W u id é guavina dariâ le^eoloni^ 1 espagnoles.
Gronoviüs, qùi a le premier propbsé -ce mais en
le limitant mal, car il y .-laisse de vrais gobies^ en a pris le
nbm -dans Athénée? otu%Àl%/s- est' annoncé comme un
poisson du Nil, màis sans aucint caractère qui puisse le
fëre:.rèconnaî:tre.Blo ch, dansson SjfstemoefdL aussi <un genre
éléôtriSj mais- qui! 3!ltângue;:iÉ®?'gè})iesvpar un «réqtère
inintelligible, .et o ù lî en^sfe en effet plusieurs vrais go-
bit^avee un ou dëux élebtris, tMftépie nous les entendons.
L ’idée 'q^e-M. derLaoé^èdé^e faisajt de ses gobiçmores
(t.II, p. 583j|re&tjf,à peu près dans celle des éléptéîs actuels;
mais, il plàce en-tête du genre un poisson- d’utfe tout autre
famille, le patteum ou nomeù$; (7t«odeK,de^Iai-^ravc, i 53),
lequel est u i sçomb,éroïdef (^notre-'homeMA- Mâuritiï). Il
j^ait ^®té induit ^sans doute erreur par .-tjrronpÿius et
Gmelip, qupen avaient fait upvgobie (gobies Jjrronoyii?
,Gm eL ),p mafcfe §eS -grandes'Néntrdes^ bièii“ diîmnctës. Il y
ajouté le gobius Koelreuiçr, quiîpst .un^pérjophthalme ;
„enfin,<Jl fait un geh^^^u^ét'UQm barbare* de goViomo-
roïr/e‘(p\592); çte Xajnore piocuma d*q matgraVe,4iou gobius
PisônisJ: Qmel., qui <jest;un véritable éléplMs, parce qu’il
1 e ,ponfond avêc un autre poisspn1 à dorsale .unique, dont
il ne fuqus,4-. p^s 4|é po^ibm^nç.ore de déterminer l’espèce.
^Kous npuponnorissons d’éléottis que pe's.mers, chaudes,
m ais.il s’éntrbuve dans les. d%ux océahs. Quelques-uns
„surpassent tous les, gobiç^po'ur la taille.' Ce sont engénéral
- desi poisspn^paressepx, qui se tiennent tranquillement dans
la.^aS-Ç o-ti dans des tré^is .de rochers. L|t| plupart fournissent,
urÿ alimen t agréÿbleet. de facile digestion.
| rtLes!'espèéei^plemrisw^)ôt' certainement*les poissons les
plus propresi^prouyep-go,mbien. est peu fondée îidée de
regarder la^papille anale comme- une marque distinctive
du Sexe ‘m^lti»Dans toutes, %|1|êS' que j’ài disséquées, j’ai
obsërvé. cêftE papille de forme variée selon les Espèces,
autant et» souvent plus développée chez les femelles que
chez les. mâles. J’ai soiç. de le faire remarquer dans les_ articles
qui vont, suivre. É
; iNous parlerons d’abord des espèces de l’Atlantique,