cales se dirigent obliquement en arrièr.e;; c ’est'àTàpopbyse dorsale
de la quatrième que sfattacbe leppremier interépineux çle la première
I dorsale ; l’inférieure de la;quatorzième, s© jaint au huitièmei ihterépi-
neux de l’anale seidement^et c’is t 'làriqued’ciin pourrait commencer
• la queue; Lès deux apophyses transv.erses : dé la; treizième sont réunies
•en anneau; les autrésbbdominales soiitcourtesetlibi-es, plus larges
cependant: vers l’arrière. | i
Nos individus jsont lbft|s d’uu |iéd B i i e t
il y en a un de Poxto-Rico. envpVéjpar ML Plée, longue
dix-huit ,pouces., Les autres, vienne^ <j|e Saint-Domingue
par M. Rico^d, ettde la Martinique par M. Garnqi,i f<
• J.L’est d’après l’un de ces, ihdividusôpfêté par^uo-us à
M. Guérin, qu’on voit une figure de 'cette espèce: dans
l’Icoiiographie du Règne animal, soUs le nom <Xelë<Stris
dormitatrix. La figure dp Phimîér représenté 'dès taches
plus nombreuses, maisPcVn’est probablement qu’une'Vdrfeté
individuelle.
Nop^trouvons une figure da'ps la collection dès dessins
,du Mexique de M ^ Sesimpf Mocigno, qui est intitulée
gobius nebulosusj vulgo guavina la v era .
CHAPITRE %J. iif|é
D e 'quelques,gênées voisins des Gobiôïdes.
Après les; genres- que nous, venons, <ie Jdécrire, et qui ont
,d,es rappqrts sLévidens,avec les blennies ef les}gobies, que
leur réunion jGOptitue| deux famillès tr^s-naturelles,, il
nous rjuste à faire,l’his,toire de qiielquès-un§nqui.semblent
deyoir devenir à eux seuls/le .type , famille naturelle;
mais,comme-nous n’avqns pas-encore uq^sez gr£|nd nombre
d’espèces çqnnu^jypour en,}a^eoir no Ère,.ƒugernept à leur
sujet, nous,préférons les placer en qqelqpp'sorte en appén-r
diqe,, auprès^ des;; famjlîé^ aygc, lesquelles ils ont le plus
d’affinité,.
DES C A L L I E ^ (W tM tÿ à v s | Linn.)b ,J
( b?çau nom )/iéÿjii^|oeîmpaet^cJineider Ta
établi} un des, syqony mbg!},dp?^qran Qspop e. M. Guyier a
dé]k,4ém,ontr$, en faisant ThistQpU'éLp/eL poisson, que
cette synonymienest prouyée. par un passage d’Afchénqe )
et par deux dpÇlinej,^t par les observations anatomiques-
d’Aristote. Le, naturaliste grec,dit ^n? effet que la}vésiçulé
du fiel d u , ^A^^^^^sp^plus/ gra.p.c|e r,fqp.eL dans aucun
autre- p'oisson, à, propoitiQn,|||e. la grossèpr„fie sop,porps :
assertion' vraie pour l’uranosçope, mais qui nè l’est; .point
pour celui auquel Linné a 4éjipitiyemeut appliqué,|e nom
de Gfilliànymus. %
Nous voyons l’auteur du Systema
1.' Atlîéneé'Vl. «LSfÂ'Pliûé* 1. XXXHL et ç. XI,
édition. Hardouju; $