Sa première dorsale n’a que sise, rayons comme à rordinaire. Sa
ventrale, remarquahle parsa. grandeur % etattachéesous le tiers
antérieur de la peetoiale, la dépasse de moitié.
d. « — ya}.,A. ya, «te.
Dans la liqueur, tel que nous l’avons, il paraît d’un fàuve clair;
Sur le dos et les flancs, ,les loges de chaque écaille, entourées d’upe
ligne noire, foraient une sorte de réseau. Il y a un point noijç sur
1 aisselle de la pec»oifole, .ët un de chaque coté de la base de la
caudale : entre 1 oeil et l’angle de là bouche en "sont’ deux, et deux
autres sous la pointe de la mâchoire* inférieure. Les rayons des
■ dorsales et de la caudale ont des points bruns; les autres nageoires
sont blanches.
Notre individu a deux ponces et deuil.
M. Laurillard en a pris à Nice Un de deux potfçes, tout
semblable ] sFcfe tuest que ses pectorales sont grises et quon
lui voit deux ou trois ves,tiges de taches noirâtres' le long
du flan G.*
L e G obïe Goulon. •
(Gobius Colonianus^ Riss.)
C’est encore ici un petit gobie de la fediterranée;
remarqiiablè par la hauteur de sa dorsafe ét par l’ocelle
dont elle est amjeé.
M. Risso vient de le décrire dans sa deuxieme édition,
p. a8S, ët lui a donné le nom de M. Goulon, dé Netif-
ehâtel, amateur, éclairé de l’histoire naturelle1, qui a bien
voulu nous donner un individu parfaitement préparé de
cette espèce j mais nous en avions déjà reçn un de feu
Pérou.
Sa hauteur fait le sixième de sa longueur; 'son épaisseur s les
deux tiers de sa hauteur. La longueur de sa tête est du quart de
sa longüéur totale, et elle n’a guère en'hauteur plus de trois cinquièmes
désa longueur,«! en largeur plu^dèmokié. La hauteur
de la première dorsale est supérieure ePun cinquième à celle du
corps sous elle, mais elle, n’a point de rayons prolongés; la deuxième
n’a . guère que .moitié de la hauteur de la première. Il n’y a pas
d’effilé aux pectorales j la ventrale ne les .dépasse. point.
„ D. 6 ^ 1/1,0 4 y. Mfi, etc..
t <^Sa teinté généraleest fauvesemée et-coôime saupoudrée d’une
. infinité de très-petits points noirâtres., qui se rapprochent d’espace
« en espace pour former sur le flanc des tacites nuageuses. Les nageoires
r /sont jaunâtreà;le tord ^j^rieuéde japremièrè est d’un’grisbleuâtre
‘ .aVee.t]BP!is lignes blanch es ondulées -, et entre les deux derniers rayons,
Vers le bord, est une tache ronde et noire, entourée d’un cercle
blànc.
Nos individus n’ont pas tout-à-r feit trois ponces. ;
| L e G cmbie ..d’eau d puce.
(Gofrhis JfwvaiiUs., Bonhélli.) '
; Les; eatLX douces, de l’Italie possèdent Un gobie différent
de: tpusveeux de la merypt dont on doit la èoimaissance
à feu M. Èonnélli. Ce,sze^ë«naturaliste nojis en avait qnvoyé
des individu» pris dans les rivières de Sardaigne et d^ns
l.e ;laç d’Aviglione,,et il nouseU est venu dti lac Majeur,
recueillis par M. SpVÎgny^ejtprfr M* le comte Bprroméo.
. Ce gobie est arrondi de Pavant?, ettiftm. diamètre aux pectorales
est du sixième de sa „longueur. Sa tête, eri à/lèfqwàst et estrd’un tiers
moins haute que longué. ASa largeur égale presque sa hauteur; Ses
yèux sont petits ; dü cinquièrïte'de I la lônguéur de là tête, et l’intervalle
qui les séparé^esf égal'à uU didmëtré/Sâ nuque est un peu
î. M. Basso dit * j mais je mentroùve qué6 dani mes deux individus.'