velours ; leur rang extérieur est n’ont
d’ouvert que leur partie verticale.’ En dedans de l’anglè postérieur
de la mâchoire inférieure se voient deux petites épines, qui appartiennent
au premier,et au deuxième rayon branchiostègje, lesquels,
au lieu d'adhérer simplement, comme"à l’Ordinaire, par leur base
à la face latérale de l’os^hyoïde, prolongent eu .avant cfettè hase en
une pointé aiguë, qùï se sent sous la ’peaù.*
- lies dorsales n’ont‘Jquê‘ moitié ou les tleffir defs’de la hauteur du
corps; la' deuxième, ainsi qùe l’anale qui"lot répond5’’ esÜ-moins
longue que haute. La caudale “est ronde,fcdé moins du sixième dë
la longueur. La peetolalë'en a un peu plus-^etjses premiers, rayons
sont .courts, fins et, effilés,, cpjmme dans nqs^gofoie^. oqmm'uns
d’Europe* Les ventrales spntv obtuse"s et uxr^peu plus courtes que
, les -pectorales.,
B. 6 j D. 6 —Jift; A. denier doubleG. P. 14, sans cQnrpter
l'effilé ; Y. 1/5.
Le lobule génital est médiocre et poîp|u. Il y a près de-soix'aûfee-
dix écailles d.e 1’auïe à la caudale,.et environ, .vingt-quatre du dos
au ventre, plus longues q u e ^ r ^ s „tronquées é lém e n t au-bord
radical, fihe.njent,citUées aîi»bo^d visible, e£ parquées Æunéveiïtail
de quinze . dix-huit a v a f e ,
Sa-couleur'est un brun foncé, qui passêüau brun pâle ou-â
l’olivâtre s'pus ïe ventrè.‘EëTmilieu dé chaque écaille,eàt' plus foncé»
î,:jce qui produit, tout le.lpngtdu corps des lignes étroites d’uiŸbrun
un peu plus fonce. Les nageoires^ .sont plus, ou -moins feintes ,de
roux é ©u, dérangé j surtout la seconde; dprsale etkl’anale, ©V aux
bords supérieur et inférieur de la caudale. La première dorsale .»est
plus-noirâtre, mais aS%m' large bord orangé.jLesyentrâles-tirent-plus-
à l’olivâtre. On. voit quelquefois, des "points. bruns sur certains
endroits.- ■ -
Les,viscères ressemblent à ceux des espèces dé l’Inde par-ùne
plus’ grande l ig u e u r du canal: digestif,' r<èplié: dfeux fois sùr lui-
même: La vessie: aérienhe est grande, s
Le squelette a, comme dans1 lés- éléotris'têtard et noir, te crâne
, dépourvu detcrète; mais le front y-;.est beaucoup plus étroit entre
les : yeux. La jqu.eue commenGe soùs làëonzième vertèbre : il y en
| a en tout vingt-cinq. 11
Nos^individüà sont longs'"'de s® et sept potïees.
Z /Ë l ÉOTRIS'’, À, 'ÉPAULETTE NOIRE.
k um em lisnob.) : m
Nous devons à M. Belangér ün 'ëleotris du B en ga le ,
remarquable - par une tête plus, déprimée qu e dans aucun
au;t r e , et par la ta ch e^ p ir é de la base d é s a pectoràle.
5a hauteur est d’un peu plus ;du-sixième de. sa longueur. Sa tête
y est comprise trois fois et demie^ elle est fortement déprimée et
aplatie. Quand ses opercules -sont fermés', elle n’a en largeur que
moitié dëlsà longueur; mais ses ouïes étant fendues jusque sousle
milieu de/sa/mâchoireim^^ ibpetculès peuvent' ^écarter
de façon à la f^|e pàrait-re, aussi large que longue/
La circonscription horizontale de son museau est .parabolique.
Sa mâchoire inférieure dépassera supérieure. Ses dents sont,en fin
troisième’ sixième de sa longueur,, et
. ést' a Ueux ’diamètres de cekii delTautfe, coté.’ Le front , le dessus
du musèau, la |oue et l ^ e i ^ e , sont 'gprnis. (l’êc|tfles petites,
adhérentes et fort âpres. Une fossette ovale-entre l’oeil et le museau
contient les deux"orifices de la narine, dont IeCpostérieurTest bien
jniM grand que l’autrë.'
La première dorsale n’a pas. moitié de la hauteur du corps : la
deuxième et l’anale, sont un peu plus* elévpes. La longueur des pectorales
est du cinquième dV celle du ,corps. ’Les ventrales, un peu
jugulaires, bien séparée^,jet pointues, n’ont que les deux tiers de
la longueur <|ës pectorales.’ caudale est ronde et d’un peu moins.
du cinquième. ’
. . D. 6 — 1/8'j A. 1 / 8 dernier dotale; P. 18 V. 1J&. y.
’ bè 4®^e génital esf'peüt. etjqonique..Les écailles du corps sont
■ îa . " * | | j ' a 4 .