cüle,! et qu’il se termine également par dé fort®I épines,
auxquelles Se joignent même' dès; branches cartilagineuses;
mais, leur préopercule n’a . point d’armure. L’abse&cé du
s©us:4joîbitfeire ÿ que :ije J reglrdéïrbomme nu earaèlàdrq de
lanijilfë j mérite'fusài fine atteutiton-toute particulière';- car
onnè-'sâqrait prendre; pour analogue de uêtte pièce osséüse
la lame'ieOucbeerSUr le haut du maxillaire, laquelleest une
SPÜÉÊ rencontre dans un grand nombre
dé porssom^otammênt" dàns les holocenlrumqui
ont uu :ïôns-orbitaitë%"ès-dêv.eloppé. >‘ f
Leur canal intestinal n’a ni cul-dë^sâc Stbmaèai ni'cæcums
au'pylore; leur vessie natatoire, est très--remarquable par
sa forme .profondément, fourchue en avant gi par des Jiga-*-
mens grêles qui l’attaclient aux premières vertèbre, îèt par
fos muscles j qui Iavi*êvitèttt Sur
La véritable' place de ces pefesèns * estf assez difficile à
assigner, et mèmmjæ pe‘v6is guère que les baudroies avec
lesquelles ils aient quelques rapports. La> grandeur de leur
gueulé g^ tentacules dont elle est entourée\ Le même
nombre ' de rayons à leurs ouïes ; leur membrane bran-
chiostège.,.'s’unissant assez hait au côté de la gorgé;, la
position jn^^beeitàèîetii^^mtTale^.rabseHce- du sfous-
orbîtâirëq l’importancé de leur subopercule; et le ptoion-?-
gement deSîqMü, Carpe,qui fourrassent urne espèce de bras
à leurs pectorales, ’sont les bâSës'sur lesquelles ces rapports
s’établissent'; et les differehcês qui s elèvêni contre eux, prises
de l'absence dé. vëi&ié hâtàtoire dans les baudroies, etaape
la natùre moins solide deiïeur squelette , ne sont pas telles
que, Ï . Q U [jjB fe r ê .b e a u c o u p d’autres
familles- natupdlest; |
Quelques ichthyologistes ont cm devoir Jure remarquer
des affinités entre les batraehoïdes et les uranpseopes; mais
ceux^oideviennent bien différens quand on fait attention
à* leur organisation intérieure., et qu dn ,ne s’arrête pas aux
ressemblances extérieurs ; encore les similitudes st& rédui-
sent-eilès a 1|^ cpnfi|urat;ipn axterne de la t#£e ; mais le prâne
nu e,t osseux des uranpseopes, les fortes épines de fépaùle,
l’absence»,çlé ces armpre,s aux opercules, la pectprale non
pédieulée, le canal intestinal pourvu dexcecums, deviennent
des caractèrès.qui . démontrent un'é* Organisation fort
différente entre eu£!ebnos batrachoïdes.
11 pa : dès le dixsep
tiëmé'hièèlëV Hàqpave én a décrit deux au Brésil,.et
Nieuhdf un dans les, Indes" orientales; mais l’Europe n’en
•possède point.
On pept, les subdiviser. selon que .lpur peau est nue ou
écailleuse,i.et-selon qu’ils,,ont pu non des lambeaux ou
barbillons autour dêsCmâchoires. î
Le BATRAcnoîbè^rognant.
. .( jßhtrachus grurtnieris 0 i \
3$ ou^décrirons Rabord l’espace la plus répandue dans
la mer des Indes., et qqi nous paraît ;^yoir-été représentée
par Seba et par,Blo,cd^j.ep même, temps qu’il nous semble
que c’est une 4 e eelies que Linné;.a eues sous les yeux
4präqnÄ*a fait son article du cottus grunniens : cést à elle
que nous réserverons cfe nom spécifique, bieq que[la
faeultei quil indiqué lOft prôpablèment commune au genre
tout entier.