L’anus se
péniforme est peu dévêlqgpé. Les;. 4c^iy^s,deviennent, plu^^andes
vers l’arripre';du^cqrps qu’jasa partie ^éy^etpe , qutegjîles
, comptant- sur une ligne longitudinale1, l^itrente - ($pq dernières
occppent un. tiers yle plus en longueur que les trente-cinq premières.
Leurs nombres varien|*de même ,1SurIïîes lignes vçVlicale?-; en avant
il y. en a pius.de vingt ,.au-dessus:des troisième on quatrième fixons
de l’anale dix^qu .dpüze. '
Lejjjçs pQtés.fsont rectilignes et finement; striés en, longueur, ,jieur
bord radialtrfiobé, le bord. visible demy circulaire et finement cilié;
il y-a ving|r cinq, ra^q^&errés ^et, plq^ à J^r,éventail. Je^n^ÿpis
distingue^ de ligne,latçrale.;.-, ,
Tel que noqa'l’avons d'ans la lîque,ur ^çe?pQisson parait, d’un,gris-
brün un peu roüssâlçf^ trois o,u quatre' p'qiri^e n^râtre%^.rqqntrpnt
sur le deyant du'prpmier rayon de la dorsalè-^ntériepi^.,. ^
C ’est à peine si l’on aperçoit un léger nuage n o i r â t r e l e ,q q t é -,
(jeçrièçe oeà
vj. M. Poey, qui nous a donné une fîgumdp <fe*go'Mé/ faîte
à la Ha^aiSë^nOids ‘dît' q u e 'n^ cË t^ S^ èT ^ ^ ^O TW gn t
dun brun èérdâfre’ clair, excepte r èW ém ite^ ^ ^ en tra le y
qui* tiré.*”au bleuâtres
Il ajoute quq la partie .brillante qui est à Jas bafëjae la
langue, l’a %it nommer par lesthàbita-ns de ©uba, emerelda
ou émeraudè. On lé-prend dansnéette île,'sur les jjpnds
VlSpÉX. fl
Il ést^ômniuü dàns: les rivièlfesde la Martifriqhë^ü pn
ï ë ‘ïïbûimd Y.endormi$ èt ^léfns' le 'fla^ ^ ^ ô fV o jtipü ' ms
mfetfâïfliÉzehd&ihnË M. Pley noüs Feh a envoyé sods.ee ü-f/Pt'-., / ~ jfii'Jï r'Us'JiV}âgjl L’^U'J 4, WÊmÈIfflÈ «tËSii • i ii'-i- j$ - i
nom.,
m Bel on Blocb-,. seraît'aussi dans les ruisseaux-et les
rivière^ de cette" île fiu’iï aurait’ été vii par lé p'ère Plumier\
1. Grande lcbthyol., t. II, p.’!8a
mais une note, qui,paraît tirée des manuscrits de ce savant
minime, et qui a été insérée en Mars 17$7, par Gauthier,
fils, dans ses Observations périodiques (p. 239), annonce
que l’on en trouve beaucoup; .dans les petites, plages delà
Martinique, qu’il, se| tient dans les endroits pierreux, et
qu’on le peqlip. difficilement.
S.a. chair, est-il dityést, excellente, approche du goût:de
l’anguille, et il a- quelquefois vingt pouces de; longueur.1
Gronovins l’a parfaitement décrit2q il l’appelle gobjus
cauda longissima', acuminatq, eX:\xLÏ attribue distinctement
quatorze,rayo>J^ à la deuxième dorsale, comme nous les lui
avons obset^ési m^siPlui rapporte une figure 3 qui donne
à cet^e mein^ npgèpire vingt et un rayons, qe qui n’empêche
pas que Pallas4 n’établît sur Cette double indication
son gobiusoceanieus.
Le père Plumieg avait observé le meme poisson dans son
ïieii natal, et en avait tracé une figure ou, comme a son
ordinaire,,il nUvait pas compté scrupuleusement le nombre
des’ rayons*/ cm®il y en marque dix-néiff ou vingt?
Copiée par Aubriet dans' les Vélins du Muséum, cette
figure a passé dans l’ouvrage de M. de Lacé’pèdé % Une
copie plus exacte a ,été publiée par Gauthier/{Zoç. a>^*, et
il sentrouvaft encore une.autre dans les mains de Bloeh,
qui eu parle danssoii article sur le gobius lanceolatus6, mais
, 1. La figure d’Aubriet, copiée de Plumier et gravéedans Laeépède, fait le corp^
la deuxième dorsale et l’anale olivâtres, ayec des reflets doçéS; la tête bleae j la
première nageoire jaune; la pectorale et‘l’anale rouges, nuancées de jaune; la
vedtrale rouge : mais tout cela paraît sôrte?de l?îmaginàtion du peintre. Gauthier
qui a aussi çdpié.^ettej figuré ^ dq Plumier (dans les Obsery. pçriod. de Toussaint
t.II, p. 209, y S | j , et^plus exactement qu’Aubriet, n’a qu’une teinte olivâtre pâle.
2. ZoophiîT, p. ôé, n.° 277. _ 3. Idem, pl.-4 , fig. 4. — 4. Spicil. zool, t. VIII,
p. ,4. r— 5. T. 11, pif i 5‘^ fig.: 1. p | 6. ïcht., 2.' part.,
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