large et plus épaisse, descend en ligne .droite depuis Famculatîon
Jusque derrière les deux épines du suhopercule, et s’-y. terminepar
çne petite pointedirigée endessous;l’autreest très-gnêle, et ressemble
à un filet plus qu’a un dote d’opérculeelle se termine à peu près
à l’endroit où. se terminent aussi les filets dusubopercule. Plus en
arrière encore se sentent les os de l’épaule, qui, de même que«fe>
précédens, ne se montrent amdehors que par leurs épiueis. Cependant
lerS^çapulai^es ^xiste>pas^ dt il«n^nrpasïd’épine;au "seàpulaire;
mais le grand os huméral en a unedans-le haut, placée derrière celle
de la tempe, et une dans son milieu, au-dessus - du pédicule, .dp la
pectorale; celte,épine du milieu est divisée en trois pointes.placées
* 'Obliquement. Ce pédicule-de la pectorale est lui-même enveloppé
dans une continuation de la peau, en sorte qu’on ne voit sortir que
sa partie fayonnée, qui a l’air d’être attachée à l’angle postérieur et
externe de cet énorme disque de la .tête. Cette partie rayonnéevest
Coupée carrément, presque Æmssi lèngne que large, et d’environ le.
septième de la Ion gueur totale ;ellefconiient vingt-trois rayon s , dont
les houtSyÿSOsrtaiM: deda membrane|iyd»rme»t deq^tits festons^Vu
en dessous, le grand disquededaJéte paraît entièrement aplati et lisse.
Les ventrale s’attachent sur une ligne qui le traverse-à peuprès
dans son milieu; la distance de leur baseestdhn peu moins du tiers
de sa la rg eu r ,^ se dirigeantde coté, elles n!atteignentpas ses btèrds;
leur longueur n’est que du neuvième de la longueur totale; elles ont
cinq rayons mous, presque égaux, sortant un peu de la membrane,
et une petite épine à leur bord externe.
* Les portions -latérales du disque laîssentïapereevoir au ddigÉ les
myons branchiostèges, qui partent d’un os hyoïde à peâ près |»à-
rallèle à la mâchoire inférieure , et se- courbent à -peu pgfes.’^&ral-
lèlement aux bords de la tête ; il ÿ én a six, dont les Sternes se
prolongent jusque soqs le pédicule de la pectorale. L’ouvertùreTdes
branchies est sous la fin de ce-pédicule, et la peau qui l’entoure
s’ünitn celle qui le couvre, en sortequ’d a l’air desordr dë Borifioe
branchial; les deux orifices sont ainsi fort’ écartés l ’un de l’autre,
• placés chacun sous l’angle postérieur du grand disque de: la tête:;%u
plutôt de celui de la tête et de l’épaule; -ils donnent issue chacun à
une espèce de large canal, qui vient des branchies et qui est tapissé
en dessous par la> membrane Êranchio$tè^6'et par ses rayons, et
abrité en dessus par les osf du bras-, ceux dé l ’épaule *et les pièces
opereulairess; ordinairés.pfe
/iOn repli dedàrpeau forme m dedansîdu pédicule de la speotorme
une cloison verticale ,s qui dent* agir eOMUïe une valvule dont l’usâge
est d’empêëheM’inlroductiondé Beau darisd*intéiàeùr delà branehie
par Bouverturei de- -1’ouïe.^CieWê disposition-'était nécessaire pour un
poisson ^Osseux, privé d’évent;-;eti qui, caché dans la-vase, aurait blessé
l’Organe si délicat.des ouïes, si une eau fS a fe chÉ rg é e dégrader
avait pu entrer par les fentes branchiales» -
C’ëst dans là partie ântériiUrÇf ’deî^T*Èanalî que sont cachées les
branchies, ejuime sont qu^au nonibre de trois, lé quatrième arceau,
qui 'existetcoinrne à Fordinaÿre, ne portant pomt .de frfoges vaseu-
]aires, et ,ne laissant point d’ouverture entre lui et le trôirième.
L’anus :^t Ù quelque distancé- eniarvière desIpétetiralës et à peu
près, au milieu de lalongueurdu corps.Le corps, deFrièreles épaules,
n’e§t pins qu’un ©on© mince et: un peu déprimé,..portant en dessus
et en dessous^une dorsale et une anale molles, qui se répondent à
.peu près ; jna-isrdont la dernière Æst un peu plnSijpouEte et plus haute;
elle a*dix rayons; la seconde-dorsale en a onze ou:douze, et en avimt
4’fespâoe.*n» qu’elfesr lussent derrière elles fait -le
treizième de la longueur totale, et la caudale eh fait le sixième : elle
est-iéoupée carrément et n’a que huit rayons.
Il ’ noüs yeàte à parlermaintenant de In prémièri§ip©ss'ale et des
rayénsqife^dëticteÉt en avantpcar il senftlëtqu’on doit regarder
comme des rayons épineux les filets que ce poisson porte sur la tê;të,
articulés à des pièces iosseuses: impaires.;, que l’en peut considérer
„©o^pï^les int-ej;épin€»|;déAachls sont les trois p remîers • <fe|ces
rayOns qui s’isplen$$ains,i;ileps; deux premiers sont attachés à-une
seule pièce osseuse, que l’on sent sous lapeaù pomme une crête ver-
tiéale môbilé.’' Le premier de tous'ést entée lés deux narines; il est
grêle ;; sa loi^ùëùr fàità'peüprês la mditïed'e cëlle dut co^ps, ejriîéè
.termine par un lambeau* membraneux, ‘bifurqué et subdivisé à sa
hase,.ét qui, dans un individu bien conservéÿA les deux cinquièmes