20 LIVRE Xiy. GOBIOIDES.
Le G obie bordé.
(Gobius limbatusj hob.)
I M. Laurillard a rapporté de Nice un gobie semblable
an gobius guttatus, pour lés formes et pour les proportions
d'ê lw l £ j
niais où le noirâtre se perd par nuages dans un fond .grisâtre, qui
-devient oIiy4tre vers.-ie ventre. Les taehesdes- nageoires ver.lippes
se confondent en nébulosités, et tous les ,spmmets des, ra^ns y
sont blancs, ce qui y forme, un liséré de çette oouleur,. La$pec,to-
rale ‘^ôii^^fee. de blanchâtre. Il jÊÉg à la^oue, à l’opercule ^etr à
l’épaule, au lieu de gouttelettes, des pûntS|pâles,très-serr^et peu
**••• apparens.
, D. „7^1/13 ; A. î/li, e|5f
Le% lignes de pores sont à peine en vestige^Les angles ;de la
membrane antérieure de sa ventrale sont plus ppintus que; dans le
gobius guttatus. ||
Dans le-<i^V'r^ É ^ è8 ^ :^®s®t^^^'-de';,|tL Laurillareb leJifOÉc
est brun, avec des taches irrégulières plus fqpCees, et le tout poin-
tillé de jaunâtre,. Les nageoires, d’un bru^verdatre^^ont’barioil'éfô
de jaune grisâtre, et leüt Bordure est bleue.
Xj’individu est long de seph pou^çs. ^ }
Le G obie lote.
:~*X-Gàbius lôtày nôb.) j •
Les eaux douces des. environs dé Bologne on.t,dong.é
Savigny un g<$biè assez semblable au G. guttatus .par
les couleurs, mais qui s’en distingue aisément par sa tête,
plus haute que large, et par l'absence de franges ou de
raypns éïfilçs dans le haut de la pectorale.