CHAPITRE IL
A n ten n a r iu s , g Gomm>). .
., Lads k grande FamiHe des Rândîple% lpgeWî? #^f.cfeW’i
nettes te reconnaît 'sur-le-champ à sa- tète tompdmée
verticaltemënt*: audifÇU <$4tï£ dépriment comme dans les
baudroies proprement dites et dans* .]pt maltliees, ' et a
OC que derrière les trois’ r ay o ns lib res du des sus. de; s a tete il
n’y a pas d’autre nageoire épineuse5fteparep fde la molle,
ccraimeda^vmieLa»di?Q|e en a im#! sur de ^devant du;d°§4
fcnCe -3SPP*-lIiwUÔrfls;,4 !BS; poisscmsffqud ç^st^nt d^ntï des
dimensions petites ou médioCitesy et;qui n ont riens de eette
grotte ftéte^ ni> "dn;oettciyasfic§ueuieïrqjti cfifedejat dans |es
baudroies? : la plupart se t&U;t remarquer en reyancïie par la
faculté.de, gonfler leur corpsèomme un ballon, en àvalant
de l’air, et en jemplissant déiC© fluide un grand estomac,
membraneux, ainsi que. le font aussi les tetrodons et les
diodooeiS. o Vm rA *m.h Ksttiqtas ;
La" position pespëjetiye^ dei leurs centrales iet ^d^ .leurs
pectorales:et les: 'pédicules sûr ;Ie^qüelS',jCfiS: dernière^;
nageoires' sont portées, leur donnent lair?;f|##piL
pieds, et cé sont les ventrales qui repf^aten^ c e ^ ; de,
devant , en sorte que l’emploi des quatre extçemitn^ est cljez
eux entièrement in terverti La petitesse (|e leur - orifice,
branchial* qui n’ést qu’un trpufyond* caché, dans dh$5# ?
de leur pectorale, leur permet de : rester long-temps dans
l’air, et ils en profitent pour pamR#r:.^r,lç%:^rp€«, f t sj$
la vase; t ’est ainsi qu’ils poursuivent leur p«oie, du moinsse^
fest là cse que jdisentt Renatdmt-^^nt^uwCfimtnemon sfe
borne*à lestoefsrpsiàitfeï poioeune><|esie^èee& damphibies.
; : La gueule eitffondue pilus ou if etticaleimen t; leurs
intermaxilkires^iemranâe^oère infecsèimej, le bout anterieur
•gt :|raus.versfii âe^knr3fi®meiï*idcuïs»paktiusiëbleuré pbaryn-
giens, portent des dents eU casidfes ditmfbc Cièsfe-aarilire,j§er*-
güèlls et âiaisüla kègde
n’ciu a aueuin© Lés^eux^ontpdtrtSfntiiappiiîOçbKBjfdu fcont';
on/neovoit d’épines à a»mnf partie lie >là fie ternides: rdpari-
^^f^vtouteaîksqjià^esiopjéBmlaiiesssont icacMésfe sous k
peau, encore bien plus complètement; que dansjk! bam-
djEoieyct autant qnfâ:dkasU§snt^tmdonsf la awemb&ne
dess‘Omiéesia firoray^BS homme odams Iaxbamdri®ië‘;S %aiç les
bréncWses mimesinmsdntrpds :rèduafeâ -à strods : il y en a
fquatfé )idomine idaàfisrtespoâ^Busifflrdinaires^ ,
il, La par tie «pos témeube d%#d®psijipefis’amiiïei| fias pomme
dans k baudroifi{ordimafaj|ce qui)d|aUit emeprelune diffiér
renee Üntre les deux genres. . 9
t ; ,‘:;La dorsale pfoeiîpe une grande pytifisdui dësfæ£>sejphrte
-M&n plus "en>avamifcp» H’aamlel Les /pwûpoàtiobs jdesahyixms
litotes du âiéssus de tebrîtÔÈdildliÿâiiàBdpeaax qui s’y attachent
*Rvarfeut beaddcrpp^ soloarlfes te^pië®es<| ihpetoaaraeiipe
une où- les deuxième et troisième rayons sont unis en une
aÉÊemkrans * ï et* im® uutre4-dA îlsoBSifes troisrcont unis entré
©ux>j@t2avéq?k ®èc©æfic doanateno,
La piitewales*|coîmmesdans les baùdæoieay est portée sur
ùne IsjlècM dé tocbsj? formdiqkriië spplongfmeiat ée.dèux
des os: dp oarpep
la peap * iàoMoim quèd’aniMalinê, vduitie M< faire : saillir: Ses
]&yonsyhu-nombred-e-(h^~ou-QngeySo-Rt-dispO'8es-eB: ■‘éventail,
et4 eurs bo^tsSJsærÉéotuà&fite •aaeiidiam^d©.",xï^itti&e