3 0 8 P Y îR E , i£ H V P E C T O R A L E S P E d LEU L É S S *
Mérnoi r es-du ALus éum ( 1.11I:,ip« 4 e t~r eprésenté. (pl. 16,
fig. 2’}s.©^iiC:nom de chironeùterude {cbironecims scaber^%
app ardentâ: cèfete espècèp-mais j sési couleurs. étan t mal icon-
servéesf;, cette figure -n’a pas les.', taches 'assez.-oettèsî Jfeus
avons depuis.lors reed .d|©* eesqélissqp-s de,la Ma r finique par
M. P,1 ée-dont les fâàFantîëres sont TBiieux prononcés,
- Les nageoires-- supérieures et lesL?£4téS'du ;eorps ont
quelques .filamens ; mais dans um-individ u pluSipetït,,Êqui
vient: »a ussi .de la t l^rtinique ^ et que nous r a:yé»fsî trouvé
dans Je cabinet de M. Richard y tout le :aorps. et -les m e m-
bres sont gar®is<de filamens.longs et.grêles, dont la, plupart
sont en forme de plumes ou b ranch-us comme de petits
arbrisseaux.
Il parait que dans tous enes çhjfpiiectes ces appendices
s’usent et, sq perdent uvec- Tage, et qu’il faut les observer
dans5 de jeunés sujets' pour les voir dans letor iritégrité. *
a dettù ^espèce qu’appartient §^§|viâu apporté
de là Trinité par M.,Robin, dont M. Çùvier fait mention
(/oq. cit., pi.
' : Les ' vis&èrësdü cliirotiectës que. jai pu examiner,tî’étaiènt
pas entiers o n 1 pouvait juger- queTltfstomSc Ue' 4e' èhircmecte ‘est
très-axhple, arrondi, très-dilatable. SeS:parois sont! niiricés etcliar-
gées en dëdans de rides irréguliètes,1 petites et'iônibTedsëâ. "
La v^siejiatatoire est globuleuse, peu grande. .Ses parois fibreuses
' s3ft.t atgèntéésrLes ovaires sont grands ; ils occupent toute fa ÏqqgùèùrdeTabdômën.
^ro^u V'fiît 3 décrivent un chiropecte d Amérique,
à? peau rucKP; à lambeau du premier rayon; fourchu ;
mais ils ne,, s’attachent, comme presque tpus les , autres
1. Jamaic., p. A5p -—.*2. Zoophyl., pj 58,in.? #0V
pÉÉEÉplSI; II. ; CHIROîîECT'ES. V 309
naturalistes, qu’à des caractèresvèommuns a-plusieurs espà*
vet'néparlent point de la disposition des*taehés^en sorte
qu’il bat difficile de.dise s'ils, ont voulu parler de celle-ci,
ou de^qûelqu’une des Suivantes.
Leguaperva de-Margrave^paraîfrse rapporter plus preci-
s ém efit-.à notre e s 4&s a c tug-lle.
]l%da peau rude,- et l’auteur décrit ses couleurs comme
il suit!‘-:>
« C&lor cutis eax obJCure< rub rica ns cu i fu s cu s adm ix tu s,
K e t p e r totum> corpus m a cu la s habet nigras^jigura unda-
„ rum : pinricè èt b ra th ia etiam e ju sd em 'sun t co lo r is > sed
«pirma in donso, in qu&Jibêfcla&er.C) quatuor habet maculas
«riigras m ajoresÿàaud a ve ro et omnes «pinnee minores
elegantenijariegatee sunt.
> le defis. dire, cependant, que* j’aibi&rement trouve les
taches, de Mvdnï’Sale au nombre de quatre seulement.
■ La,figuré ne peut nous-aider à reconnaître l’espèce; eàr
elle n’est pas de l’auteur ,îmâis> transposée par l’éditeur
LâèV de d’ouvragé qu’il avait fait sur l’Amérique,: où, elle
avait déjà paru (p. 5^40 -S0-US le nom. (le| p ira-ute ew ah .
Je la crois plutôt du chironectes fu r c îp i lis , dont je parlerai
plus bas.
II* ƒ a dans',-le Recueil du prince Maurice une figure
peinte,, intitulée guaperva, et qui ressemble beaucoup
mièux à.notre espace..',
Au surplus, ce que Margrave ajoute sur ce poissompeut
égdementns’appliquer à toutes les espaces à peau rude,"
qui sont celles dont le“ventre sdSgonfte le plus*- $f
« Ventriçulujn habet duos digitos longum, cum orijicio
1. Brasil./jUvSjb.