grandes, un peu ph^ Lrgea que longues, légèrement trilobées au
bord radical j leur éventail a dix-huit rayons f leur partie visible fest
finement eilige*
Cepnissnu payait, brun, f a SÇÇQpde
et l’anale ont sur un fond brun des séries de taches plus transparentes
; les ventrales sont brunes. Les ;pectoraks ont des rayons
d’un brun jaunâtre/et sur la hase de leurs rayons ? tlu neuvième au
seizième, est une large tache- ronde et noire /entre deux taches plus
petites.,Tune au-dessus, Tautre au-dessous* et.de couleur jaunâtre :
le tout'entdürë de brun.
Notre individu est long de cinq pouces. '
/ j’ÉLéotïtrs gobie.
'iJSÎèQtrù gqhioides, hob. )
Les eaux douces qui se jettent dans.la baie deslsles, au
uorebest de la Nouvelle-Zélande* nouriissent uè eöoSriS
qui ressemble âmgulièremeut aux gobies les plié comiidins
sur fros cotes.
Sà hauteur èst du sixième de sa longueur;, sa tête, f est ' trois
fois et deux tiers, et d’uri tiers, moins Sâüté et moins large; que-
longue. L’oeil Occiipe le deuxième cinquième de La longueur (Jg la
tête, à un peu plus d’un diamètre de distancé de Lautre. Le museau
est Obtus, et le profil descend très-peu; la Bouche, an contraire,
I déscefcd ' vite. Les dents sont'en fin velours. Les oim&s ne «ont
fendues que jusque.sons le bord montant du préopercule! Le front,
le museau, la joug, sont nus.“ Jl V a quelques lignés,surTa*joue.dJn
sillon longitudinal- sur là nuqûé marquele rendement dgses muscles.
Ees nageoires verticales m’ont pas moitié de là hauteur du corps.
La caudale est ronde, du septième seulement de 1^ fugueur dp çqrps.
E. 6 ; D. 6 •— .1/1©; JC l/9>Jväeroier
Les écaillefisont grandes, au nombre lyénte-ciuq environ de
l’ouie è la caudale ; elles sfM légèfettïent lobées à Leur bord radical,
et ont vingt rayons à ÏTéventail^éte^ - -
Bans la diqiieur il paraît d ’im brun rbussalre avec des taches
nuageuses plus foncées. Une ligne verticale blanche , nettement
dessinée sur un fond brun, marque la base de sa pectorale. Ses
autres nageoires sont-brunes. Il sy-a sur les verticales des; séries de
taches plus pâles. Bans les jeunes sujets les nageoires ont moins de
brun.
Nos individus ne passent pas quatre pouces. On les doit
à MM. Lesson et Gamot, Quoy etIGAimard.
jL’^LÉOTRIS cyprin.
(Eleolris cyprinoides, nob.)
Parmi lès éléotris des contrées orientales il en est un
qui ressemble siiigulièreinéiit à un petit cyprin, tel que
l’ablette (cyprinus alèurnus) ou quelque espèce voisine.
Son corps est comprimé, son ventre convexe, son museau pointu
et sa bouche très-petite.
Sa plus grande frâuteur, qui est à l’anus, est cinq fois dans’ sa
longueur la mesuré’ dé sa tête et de sa caudale.‘Mie n’a
en épaisseur' qüe !mokié de sa hauteur. Les lignes supérieure et
inférieure de son profil, à peu près droites, se rapprochent en angle
aigu pour former son museau.- Son oeil a plus du1 quart de la longueur
de sa têtè; il n’y a pas un diamètre de l’oeil au bout du
museau*? et la bouché ne prend : pâs même toute celte longueur.
Sés dents sont en fin velours. Les dorsales n’ont guère plus de
moitié de la hauteur du corps.
B. 5 ?D. 6 — 1/9; A. 1/9 ? 1X15; P. 15; V. 1/5.
Le lobule génital est^jjarge, carré et échancré. Les écailles sont
grandes; on n’en compte que vingt-six où vingt-huit entre l’ouïe
et la caudale, et neuf ou dix du dos au ventre, plus larges que
longues,- finement ciliées, à quinze rayons à l’événtail, qui s’étend
jusqu’au bord visible.
Bans la liqueur c e ‘ petit poisson paraît uniformément fauve,