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consiste dans lâbrièvetédestçôis rajpgs;épineuxrde sa. dorsale,
qui sont caches sous la peau etne se.relèventmis ppurLocmer cette
sorte de première dorsale, que l ’W observe (fans le\a^raeh©Me
auquel trous' comparons pqçfirrfo., *k * *
Les dents, et surtoul les palatines, sont pïù^ grosses et plus nombreuses.
L’intèrvallé entré leS yeux est plasétroîf ; lê hmibeàü' sur
,1’péil plu§.long et plus large; peux;'du dessous dela mâchoirc-infé-
ÿ jfÊ ÊÉ jpius rarps, ^oiïi,s Rangés ■- .qvjàjfe'.-paraissent, un' peu plus
i grands, et semblent expliquer l’assertion de Margrave, qui ne donne
au pàcaffio què'qüatre harbilïoûis. Lés cr%is du fcrâhé nè%&) p^s
aperçues aussi facilement à'travers la peàtty et 'ne dépSgnèirt'paB dè
T, dont Linné Alésfc- servi pôur caractériser Tespècéamérie&infeoju’il
avait l ’intention deifàire connaître.
, La tête est bqaûeoupplus large. Son diamètre d’un opejcule uà
l’autre est le quaçt; de la longueur du .Corps, ht ça,udaf.e non, Coim-
prise. L’épaisseur np foitvpas-J^ ©pitiAtb __qette ï*rggup; Le p:qne
reste aplati jusqu’au-delà de la naissance dé la dorsale; j.1 devient
't-rÔ§-comprime près de là qneWLa^cauâàle ârrqmpe ést trpLnàite;
lès autres nagétfîres ' soflt épaisses et plus basses'que déliés du
batrachus tau.
‘ ». 3 - î 8 ? A;.:2Sf; c . iM t t f t f t K jj§
La peau, lisse et flasque, qui"recouvre Jcé pî^ision, rfë Ms
d’écaillës. A l’angle supérieur et inférieur de FÔMfe dit commencer
une série de - grb's ÿdr%s!loùVeà4s sûr les *bêtéèadà eë#ps(,
et rendus plus visibles par la. couleur MaxicteïdeVléüri Oûvèrtàra
qui se tranche sur le fond noirâtre du poisson. Æes ^.éiâesyfôçteeot
les lignes de taches dont parle Margrave, et qui rendent son poisson
sLrecponàiss^e.:;L!® petit individu a le dfesspûs de la gorge
varié de njarbru res * blanchâtres ; le dessus du corps qfte çà et Jà
des taèîtes noires?^
La couleur du plus grand individu ést ,plus uniforme eû plus
foncée. Il est-loûg, dé treize potées.; Le petit it’pn. a que sept..
Ce pacamo a reçu des Portugais , suivant Margrave,
le nom d’en-raroco, qui est en Portugal le nomade ia
H f l B M f e M i H I M H H i i i i É H Ü m
rCHAP. i v; RATRACHOÎD BS. 3 6 §
haudfoie* Ce qui confirme• encore nôtre rapprochement,
dest qiie nons trouvons sdttS'ces mêmes noms de pacamo
et (Tettècaroco, une figure de notre poisson fort reconnaissable
et même plus ex^ettr que celle de Margrave, dans un
àoeïemL manuscrit que M. Geoffroy Saint - Hilaire avait
rapporte de Lisbonne et qu’il avait dOnné à M. Cuvier.
Margrave dit qu’on prend le pacamo entre les #ochers,
qu’on lui enlève aisément la ppau, qu’il est gras et très-bon
à manger, surtout grillé. ,
Nds individus oqt été cédé$ au Musée. de . Paris par
celui de Gén e Ve, qui les tenait de M. Blanche t, négo-
cfatit, |tM>ïi a Banîà. *
Le B ATR AC H Ol DE A QUATRE ÉPINES.
^Batrqcïius quqdrispinis, nob.)
•Péron a rapporté de* la mer des- Indes un batrachoïde
semblable au batr. gritnniensj
< ' m’êm'e pâr Fe peu d’apparence de là première' dorsale et par la
forrtié oVale des pectorales; mais dont le profil est plus convexe,
èt 'qui' à deux fortes épines ait soüs-operéule- comme à l’opercule;
en solrte que sa valve operculaire en a quatre. L’épine supérieure
de chacun de ces deux os ést double de l'inférieure.
D. 19; A. 16 ;C. 13; P. 20; V, 1/2.
. Sa couleur est brune, pointHlée d’une manière serrée, d’un brun
plus foncé. Sous la gorge et sous le ventre le fond est plus pâle,
et les pointsçspfus larges et motus serrés. ;
L’individu est long de six’pouces. 1
Je "croîs tpie cèst eettC espèce que M. Lesueur a dpcHte
dans le Journal des.sciences naturelles de Philadelphie,
sôus le nom de batrachoides diemensis.
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