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| apQpl^esNun pçu. >|I|latf§sjti£| jpjblifuçs ; celle qpii suit tes ta *en an-
neauj,’,‘-et,lient par Ij’apgpliy,^ (i^£éri&re au. troisième interépineux
de l’anale..
, 1 m s individus ne passent pas six -pouces : ceux de la
Martinique sont dus» hK M.» Gamot, ceux de Saintt-Do-
mingue à Mv Ricord. Ces /derniers ont Mépris dans la rivière
Artibonite. IA Musée de Hollande en a reçu un de
Sumnam par nl. Dieperin-k, ptjfèm M. Levaillant nous en
a donné quelques petits des; eaux dotucesîde la même colonie.*
Je trouvé. ®ètte espèce représentée dans la collection
des peinturés du ©lexique, squs le nom de guavina real,
qui parait indiquer quelque supériorité. En effet. M. Ri-
édrd^Upus assure' que F espèce sest très-estimée à Saint-
Domingiïe, surtout pour les; malades, »comme légère et
d’une digestion facile.
C’est de tous rio^ éiéptris celui qui nous paraît rassembler
le plus à ŸarrVûre guàzu de Margrave (p. i6 d ) et de
P i^ n (p .72). Cependant, comme Margrave, tout en lui
comptant Sépt nageoires (sans la èâudale), dit dés infé-
iîêj^ sr qu’élt^> ’sônt'yointes il ne serait pal impossible7
que cet arrtôré gûazu fût un Vrai gobie.
JJamore pixwna de. Margrave ( p. 166 ) ' et de Pison
une''CÔpie^rapétissée d’une mauvaise figure qui
sè trouve dans le Liber Mentzeïïi (p. 5g ) , où elle est intitulée
amoreçimay et enluminée d’un vert presque noir sur
le dojs/et. d’un blanc jaunâtre aux côtés et sur le ventre.
Il semblera.it- appartenir à un éléotris, si la première dorsale
’nen paraissait pas si longue et composée de tant de
rayons* En attendant Gronovius1 en a fait un synonyme