vient ' d’en Rapporter de la radet de Mahé sur la céte de
Malabar. Ge voyageur nous dit lôssi ?que ^eipbisson se
gonfle et flotte sur l’eau comme un diodon.
Le C hironecte a . jo in t s verts.
. X Chironecté$ chlorosjygma, Ehrenb.)
M. Ehrenberg a dessiné à Massuah un petit individu,
qui nous paraît voisin de cette "espèce, pt qui avait
le* corps brun' rougeâtre, marbré de brun pâle. La tache de l ’anière
de sa dorsale d’un vert foncé, entouré d’un cercle blanc, et toutes
les nageoires bordées d’utt. jaune verdâtre.
D. 4; A. 6; C. 9; P. 10.
Je fais connaître cette: espèce sur le dessin que M. Ehrenberg
a eu la libéralité de me* communiquer pendàht mbn
séjour à Berlin, en 1828. 0
Le CHIRONECTE COMMERSON- i
:{0iipetteetes Cdimaersonii/^Qav.'f Lophie Commerson, La cép. )
Commerson a laissé dans ses manuscrits une cfesCrîptibn
très-détaillée dun poisson qu’il ntunïne antennârius biver-
texy totus ater, puncto mediorum laterum albo, et 'M. de
Lacépède a établi (t. I, p. 827 ) sur cette description une
espècè de lophie, à laquelle il a donné Je noua du courageux
observateur qui l’a découverte. -
M- Cuvier l’a décrite de nouveau avec dé> meme nom
spécifique dans son Mémoire sur les Chironeetesl, d’après
un individu apporte de rKlè-dé-rian ce par M. Mathieu,
que l’on eonSj|rye a,u: (#bijûet du Roi.,et dont il a donné
la figure 8.. Sa taille et ■ sa* fo.rme^sôht les mêmesquedans
le chironeetes hispidus et dans le chironeetes scaber.
Il a la. même rudesse d e peau et les mêmes tubercules au sourcil,
' à la jjQue et à la ligne latérale ; ei*sa faculté de se gonfler ne, doit
pas (être moindre, que d a n c e s ,deux espèce^ masses deuxième
et troisième rayons ^sont encore plias courts e t’plus gros, et le
tvoisiçme plus, enveloppé'dans la jwau du dos. Le premier esiejclrt-
mement grêle. plus long^ue le deuxième, et terminé par un4rès-
peôkteptaçuïe^I.a scabrosité diy çoTps est égale partout, et Ion
n’y y,pït d’appendices d'aôpphes sortes. tJn brun-noir très-foncé
et uniforme colore le corps et lés .'nageoires, et n’est vane^que
par un pdint d’u&/ beau blanc! placé' de tliaquecôte au-dessus
^ de/a-isselle d'e lyjeptojrale. Les poimes^des^. ra^ons des pectorales
'et des v e n t r a l e s ,,aussi pie çouleu^ blanche; ce qui, p premier
coup d>il, fait^croire qu’il y a des ongles. La dorsale a dans cette
espèce auatorze rayons^et l’anàle boit*
M, d e ^cepède (t. I, pl. S j a rapporté à.ceÿte
espèeè«unë %Urè-, laiÉÉée aussi pai Çommersiçm, mais sans
étiquette. Elle semble en effet en présenter plusieurs caractères,
notamment’les quatorze rayons dé la seeonde ç^r-
Salëpmais ôu n’y tôitpasle point blamc dmèéte, etsson
troisième* r<ayôn y élt représenté en forme de bosse, comme
il estdaos l’eSpèèè suivante,'plutôtqu’en forme de nageoire,
tel qii’on le voit dans celle-ci*^ ^ 1 ‘ * ’ .E'"
J e r»ois avoir trouvé.une .mauvaise figure de ce çturo-
ne^e de %ïnmeikm.dans le Recueil de: QôrpèiUe;^
Vlaming. Rérîard en dbnïije unecopie tout-àdait, monstrueuse
ets|^igurée (t? I, pl- 43 > fig*. 219$^ le pôissop,. s y
nommé sambia-itang. 1
Lè Glï î RONEOTE BO SSU.
$■> ( Ghiroâÿctes mherëms, Cuv- ). .
M. Mathieu a aussi rapporteuse l’Isle - ée-France une
"espèce de chironecte différant du commersonien, que