f $jéS joMeà / Ms opef cufeS'smt; eoà'wrts de grandes écailles comme
le fcofps. Ii n’y en a que cin<juarA^«t: lpelfiues do I^#e i M capt
. dale jî et- quinfce qu dixdmit Sur urne, ÿ g ftf fVefiq^ef nn peu plus
longues q u e l l e s i,,trilpbées à leur-bord radical|parquées.au bord
externe destSes fortes et* en partie, écartées.,au nombre de, vingt;
ou vingt-cinq^ et avec, un grand.-éventail de plùs de quarante stries.
Pour achever sa description, noets dirons que sadiauteur est si’i
J fois dans sa^ôtf|^émCque satiété y%lt quatre fois; qu’êll'ë est aussi
large que liante; mais que te tronc aux pectorales a un quart de
moinsrenlargeur qü’en hauteur.
! I p nrl individus, qtte âoMS avons quelque%®fêt de ci«irç
le même què cèltii#de Schlossyret dé Pallas, paràrt aujour-
d’hui entièréïnent Æuiit'biito^uteâtri:pâte* ’la pitepièife
dorsâteost flus brime eS& imÈi^éblanclaitrevkâeuxjbme
a rme lalge bande longitudinale brune; et un bofrd pale.
Le d e s S du ^rps j la veütrale et l’anale sont plu sses.
IleSt long dé nenf’poûciêsî" '
S eh^osserfa valt reçu d’Âmboine, pu ilpst nomme, comme
le^nofÉthalme ‘Koebeuter,, c/z5pï’/ e t^ p 1||oJ; cK/ppis,
p a r c e qu§ les Chmois jle cette dé font les seuls des habitons
qrqs’en nourrissent; ce qui n’etait cependant pas une
raison pour que Bloch lui attribuât la Chine pour patriej
comme il le lait dans ssGn Système ^ p. d5.
Ses habitudes sont les mêmes que dans les autres eSpè&es
du genre. Ctet princf^l<SÉhdiit slir là qn dfi te îpfeild;
il y rampe, ainsi que sur lêsherbes aquatiques^avêc'bèàu-
coup ’3e vfeesie , y donnant la çhasse aux‘^eve^t^aux
petits crabe&efe aux animaux semblables; un autre ppis^on
le menace-t-il, il pénètre aussitôt dans cette vase, etys’y
cache dans la profondeur: l’étroitesse de ses ouïes, te paupières
qui garnissent ses yeux, 1e préservent des in'convé-
niens de celm boue «paisse.
CHAP. XIII. PÉRïOPHTHALMES. 14 7
On ne comprend pas comment Pallas a pu regarder
l’éléotris n.° 16g de Gronovius1 pour ce périophthàlme ;
c’est Un‘^Ôbie ordinaire’, à six rayons à la première dorsale.
Quant au gobius barbarus de Linné, que Pallas rapporte
aussi à cette espèce d’apfèsdes douze rayons de sa
première dorsale,ce Serait b il n'’plutôt le périophthàlme
Koelreuter.
J’adopte encore moins pour synonyme de notre espèce
actuelle , quoique Pallas le dise atesiyle mitdfofc&^ofaàe*
D’après la description ce serait, notre elebtris guavina ;
l’auteur lui- donne expressément deux ventrales ; là figure
qui n’en représente qu’une, doit au contraire avoir été
faite' d’après no.tre gpbius sfporator, mais mftï conservé :
ni l’une ni l’autre ne peut ‘concerner un périophthàlme.'
1 f L e Périophthàlme, a sep^t rayons. .
(&$FÎppkthtâhMbS sepiemradiatus'j septemrcidiatus,
Buchan., p. ■
M. Buchanan décrit cette;espècekommè voisine -du
periophthalmus Schtps$er\. Lg
^s, dents sont ôrpÿ.es a tq , deux mâchoire^; 'il y en a peu à
l’inférieure: la supérieure en a davantage. Le premier rayhn de la
doTMeteest le plus long, fixais aucun n’excède btxtuçpup la membrane.
p .y * _ 1/12; A. ty!3, etc.3-,
Les écailles sont toutes imbriquées,; on n’y voit point de tuber-
| culea homme dans certains bbléophthâlmes. '
L’auteur ne mentionne pas le fond de §a couleur, mais parle de
_1. M$à. icht., t. H, p. 16. — 2. Jam., t. II, p. 285 et 28(3, pl. 249, fig. î.
33P8. D compte les rayons des ouïes plus mal encore que dans les autres espèces,
et ne leuî^n donne qbe deux.