2 8 2 LIVRE XVVÏÈdTÜtëAïMs#ÉÎ>ïCÜLÉEB.
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, ^Sit celle qiaj que -j^,Çqÿier
appelait lo p h iu sp a r v ip in n is , OUique le ppince de Musi-
gnano a figuré , sous le nom î tb - lophius bugadessa.
»M. Laurillard ema rapporté deux autres de Nice : elles
ont onze poucé§ ^de longueur. î
• Tôuiés detàx sont rttusâes, -avec des cerclesbrunfoncé, nombreux
, petits et rapprochés §ur le, dqs^le cçrps, (garni d-e boïû-
breuses ,franges:Ja premièredorsale b^ssej: Biais l’une a huit rayons
5 à la seconde dorsde j è t l ’autre en a dix.
D, 3 — 8 ©a 10, .
■ Mv-Ï^esko' Regardait cette variété comme son ïopkie buga-
desse. .
' TJne autre baudroie, venant- de Sicile, par M. Bibron,
a rlhe cohleür Bôiil^re^b^^-prdÉrôri^ée, îé^j^mlér^SiWÉ trê#-grèle
** :-4& •efeOVti 4» pfcftffîiferfr dorsale. hante. 3a-»s<kvoadie dorsale a douze
rayons. Les franges sont épaisses., longues, noires, bien découpées,
ï D. 3 — 121 ’ I
Tyindîvidu n’a que neuf pouces. .
J’en ai une plus grande, d’un p£ed sèptpOu^s; elle -est
originaire;; de Corset elle faisait partie des col^tipns.;d.e
M* Baj^udeaia. ■ lâ^sse
Elle à les mêmes coule]ùreÿaBOge^[ les mêmes franges. Sasecômde
dorsale a onze rayons. , , ... .
fan fin j# éditerai un biMvmù: •loog^de qu&torae poiifces,
pêeM$|ans la ba^ de là Sombié et •envoyé par Mi Baillbrf.
% ^^^f^^ÉÊÊ^ÊÊÊÊÊÊÉÊÊÊSâÊ^ rêssex^lieüt à c# s des^deux
J prënïiêirîi' petits inffividlè<sdoïït j’ai5 ffÊÊɧ&. tS
D. 3 — 11.
Les' filets, anterieurs sont, courts et semblables a céux dés bau-
- droies dé îiice à huit ou .neuf rayons à la seconde dorsale.
■ On voit par cet exposé que les rayons de la seconde
dotsale varierîtde huit à-douze, liraites aussi considérables
pour^és^q'ukptM^si petites, que celles du nombre des
Vertèbre!? Q u a n t ' a,ld fauteur de la première“ dorsale,
comme les *pyqn{ S ^ p l i i t ô t empâtés, dans la peau commune.
du corps que dans une membrane distincte, ainsi
que celle "de® ^uÇrès^ » îe cro/s «T^ce
caractère est de peu de'vàleqr^et quq les naturalistesincli-
nçrpnt à’Ctpb’e ggcpmmnmoi., a line seule espece de baudroie.
Cet exemple, ést une nouvelle preuve que, pour,, établir
une espèce, il faut.faire sur, les individus qui doivent y,
être'rapportés, les, mêqies^obscr^tioül nombreuses <et
minutieuses que l’o n i^ è t e k^espèces,pour former de
leur .réunion un- genre naturel.
Dm Bauèmies; di, VAtlafttiqûe.
Nous avons reçu une baudroie 4 eâ cofes de l’Amé-
riqpp ; septentrionale qui nous jt. été . qny^qyée^e Pnila-
cielpliie par M, Lesueur. Ce nj^st qu’avec .doute que;j% lui
donne un nom spécifique, p^ce. que le seul individu que
jepossèdej p’est pa^, suffisamment bien conservé pour éta-
9 P des caractères de l’espèce. Je la distingue cependant
mÊà le nom dp É
■ * L a Baudroie oA.Mi?RiQUE
t ; fLôphius ‘ driïeriëahüs1; « p p ■
i ipÉ*cÉ ’faii trôtStvé les dèffè’ d é f ’iiiàôiêàaidlbfcfè’^üsibifflmént
plus ';pè èw ] et celles des palatins plu* grosses que les denté ébirei-
pondantes de notre espèce d'Europe.