esmeralda negra* à. cause de sa ,vi?essG,mfe.],afiGe lie forme
avec les g.obiiis lanceolatus è i gobius baccàlans, auxquels
appartient proprement ce hbm &esrnëralda.
Sa hauteur' 4st près de dix fois 'dans *sa longueur ;; sa^Âe-n’y est
que èinq.fois : elle n;a èn hauteur que tahitii de: sa longueur; sa largeur
est d’un cinquième. plus ç©ii§i$ér?ble. L?oeil § ccUpeiedeuxième
sixième de l’a longueur,, à un, diamètre et demi de l’^utrç. Le museau
est obtus, la mâchdire inférieure plus avancée^ la bouche, tojnbant
rapidement en arrierq, n’est pas fendue, msqüj. scms.Toeib Les'dents
i soiUren lin velours : jefo’eh vois pas au vomer. ffonfice des ggies
n’espouvert que dans sa p'artîé verticale.
;J'La première 'âômTe^âri™e' des- rayodsjtres-fréles. Aucune des
trois nageoffes verticales" n’excède la“ hauteur du c$rgs. La .caudale
èstpointue‘et de près dû quai't de la longUeufototale. Les? ventr^les,
n’ont .mie les,.,deux tiers, des peçtprales,;qui sont "six fois et .demie
dans la longujnâr, du pqissah.
, B. ^;D. 6 —.1/foj A. 1/fc,ÿ||jg|
Les écailles sont fo ii petites. Tquçlepoif son est d an hrùnfoàçé,
un peu plus gris en“ dessous^ les- nageoires un peu: plus pâlés; des
point&jplus bruns «se, voient, sur les rayqns des. dorsales.
Notre .individu est long de :cinq|bouc^es : l’espèce en
atteint huit.
Qn la mange,
L ’Ë l ÉOTRIS a m c se au ^ o b tu s . .
^é&teotpis simaj liob,), g
Nous avons encore des,eaux dc^ces.4e la Ye-ra-Gruz un
pétit éléotris remarquable
par son' museau obtus, qui desçend par une ligne presque verticale
du .sommet du froùt a la bouché. La mâchoire f inférieure " dépasse
un peu la supérieure. L^ü»est petit. Touteâ les nageoircs-sont arrdh-
GHAP. XIV. ÉLÉOTRIS;
dies.: Les| écailles, sont médiocres j sur trente - deux rangée? entre
l’ouïe ét-la caudale.
| 1
• La" papille génitale est oblongtie et terminée en pointe, le tube
:excréteur des laitançes est dans cette espèce à la fade supérieure.
Tout/le éorps: est ve’rdâtre.qu ,noirâtre j leAnâgeoires, grise?, ont
des points rpussâtres sur les raypns. , ,
La longueur- de nos individus est de trois pouces, v
Les/éléëiâTs 4 » In d d s lie 'sont pas moins nombreux que
ce1ùix dé PAmëriqué, et l’on: pourrait meme eh comparer
quelqâe^-uiîs, de> l’ahéien monde a ceux du nouveau continent.
Ils vivhïit!pour ^plupart dans les eaux douces, et
on en.a-pôur preuve les' febquillages fluviatiles, surtout du
genre mêlante ,jque nops -avohs-trouves dans 1 estomac des
ipjda^dus soumisàmos, .recherchés anatomiques. |
L ’eSpèhjà la plus répandue' de toutes est
-1 j&’É léotrisv^ oxîw
. (Eleotris ‘ nigra^, Q. et *Ct. ) v’ '
Il ressemblé - asse'E - au guavina d’Amérique par les formes
d,è èâ'téfe,’ l’a ptftftépfe ettec^rtëment.des yeux; cepën-
dant il |en laisse'|lÉmènt distinguer car des écailles plus
graqçlçs,, d’autres nommes de rayons p^tc.
J ^ e s ja rd in s nous apprend que Ton nomme ce poisson,
à lTsle-de-Frajice Y endormi* parce qu|L,se tient dans les
creux. d^$ rochers, et ne.s’y , meut qu avec Jcnteur. (^p l y
appelle aussi cabot noir. C’jest un poisson deau douée.
MM. Quoy ; et-* Gâimard- et M. Dussumier Vont trouvé