CH A P. S I V i ÉLiÉ O T R I S . 1 9 1
Dans la liqueur i f paraît gris roussâtre, avec trois lignes longitu- '
finales blanchâtres lisérées de b r u n e t réunies d’espace en espace
• "par des traits ^erticaqx, en s^rte .qu’elles forment un dessin semblable
à des assises de piérrè' dê taille. Sur l’Operctfié et sur la joue
régnent aussi troi»lignestongitudinaliesiargentées, lisérées de brun,
qui se changent quelquefpis en points argentes. On voit aussi trois
tachés' de dette côuléur, près cfe la base
dé li^èèt8iy!&'‘ ^ !§£$nal&éè ddrsàfe a-uüe feiéh^n^h-e à sa- pointe ,
et cinq ôusix lignes. verticales grises; sur la seconde, les lignes se
changent en partie i eni taclies ou en traits irréguliers. La caudale a
des taches, rondes ou oblongptes,: brunes, entre' ses rayons : il n’y
eit>a point sur l’anale, qui est trahspafiÉÉte j mais un ruban blanc
qpaque.suit,lp longueur de sa-base. ,
T D%rès un dessin .de MM. Quoy et Gai’mard il- paraît que, dans
le frais la plupart de cêsf lignes, et de cés taches sont rôuges sur
‘ un fond v‘el¥ clair*, qui devient blanchâtre en dessous ; oit y voit
même tiife ligne rouge sur Fariaïei
' Les indivîidusdi’ont que trois ou quatre pouces.-
I^ L É O T R IS A S IX G O U T T E S *
^ ÇEleoiris sexgiZttata, noh.)
M. Ra-ynaud a trouvé »Trinquemalé,, dans l’ile de. (Cei-.
ïan, un poisson ton.t-à^fait semblable au muraîis
’pour 1^ ifôruieS' ét ^ôtir’Tes ttonrhreS 'des? ra^iltos, qui a même les
°%igfiek gHsMrës des^orsalès ëë la tachte noire au sommet de la première
; inais'les- autres, nageoires ni le corps îfen ont- aucune, où
ïïgl’èh voit seulement sur lajoueet l’opereuledeux rangées-longitu-
- <linàles. dfe points. argentésr, ' dè trois chacune. Le corps parait gris»
lès- nagêoSires transparentes et un peu jaunâtres.
U Les individus sont longs de cinq p oueés.