avec une tache noirâtre au haut de ,la.bafeide lâpeetoraie, Sjir les
• dorsales* dés traits: bruns paissent des; ta,ches,rpndé;s> tpansparetM.es.
Il y a,wsi<des
I^âaindîvîdjrtl' îi’diit' 'ijtté'‘<î^tÉÈ étpdemi. Ils dut
Sàiiit-MaMiriçë â fflfe de Bourbon
p a r M. Leschenault.
' X ’ËléotrjI' ray®.,
( Eleotris radiat/i, Q. etO.-^
Cette jolie espèce a etë,prise par, MM-, Çuoy et Gaimarcl
à I entrée delà rivière Tarnise^ù nord’-eà de la Nivelle-,
Zélande,-cb Lévrier 1827. : *
Sa hauteur est sept foii 4t quelque èhbsè’ daqg, sU‘ lbngïfihA'
-tèté y estquatre ftïïs^t? ïta -câudalêéinq fôisf Sori trhùèpest^èn->aWaiît
de moitié moins large que haut : en'àrrière il^pïeymprfme <pavan-
tagé. Satêle, au contraire | 'ësfdéprimée, deliirfois plus-longue; et
. d ’un.quarrplus large que; haute. ;Son oeil pççp^ le d p ^ p e flu a r t
et estrà un diamètre et demi de sqn oppose. La D2açhpi.r.e^ifer).eure
avance un peu et la bouche descend un peu en^riè^e.
j ) 3 ^ ;e | g ^
Ses écailles sqn.^,imé^gres.^ s< ffrÈÊtà ' !> & 3
Dans la liqueur ce/f petit pqissçm paraît rqpgeâtreret gd e^ aqu e
\jjcote douze bander verticales brunâtres, se^n^eoii^s^emt blggqfiâ-
', tr^- ƒ a prpmîèjp Ærsai|;^.deüx;bandes longitudinales poires, dont
la supérieure est large et dentélçej la deuxième ema t-roismoiqs bien
marquées, l’anale une,,Sur lacauddëspnt ^eapcqup de lignés verticales
brunes. Il y a àla tasé cjg lapectàrâlë une ligner étroite noi-
' 'râtre. Dans 1k frais;,r'd*après la cïëscriptîÉh' dés deux’’voya^euls qui
l’ont découvert, le foiid est nacre, blanchâtre en dessous j les bandes
W d’un grîs' verdâtre!,
L ’in d iv id u n a qu e deu x ponces.
L a îuer^de«,I j^ d ^ ^ d ’autres-éléotri8,assez différens des
précéderas par leurs petites écaille s, leu r forme comprimée
e t » réléfrétion '<devieuf première dorsatef- e t- surtout
pafeé ^u-il^-oèt u n r a y b n d e m b iw à l a membrane bran -
chiostège. O n p eut les com p a re rà iix ’gbbies'à pëtitë§;écaîlles
de la jâiême met,' q u e ^ d f^ V o n s fait remarques dàiïéThis-
toîrè d e 'c è "genre.
‘ ■ jL;É'dé0^riS T âibôa. *:
'\ÊΧotris strigâfa,*nobî; Gobius strigûtuSj Brouss. et Gm.)
1G’eistf'dspè®®i1la plus commune clé*ce groupe : découverte
à Otaïti leurs du premier voyage 'de CodL, elle a été bien
reprelMitéë et dëçrïtë' avec détails par Br-oussonnet, dont
elle commencë*lla première £t unique Décadè iclithyoloÏ
W v : ... . ... 1 . .. . ~ - tel " . •
..... Le Cabinet de JLJollande en possédé.un individu venu
de Java, efyeelui de Parisien a uu des.Moluques. Cepen-
d,an,t l’efpqc^ être rare » car aucune,dp .nç& grandes
expéditions ne l’a rapportée.^,,
Sa hauteur esrèix fois dans sa longueur ; son épaisseur deux fois
dsps sa hauteur. Sa tète est qnalrqjbis ètdeùi.tiers dans sa longueur
totale, et de même hauteur et épaisseur que la.partie antérieure du
tronc. lia caudalè’est à peine plus longue quê la tête et paraît un
peu pointué: É-éeH #un peu pïâs du cifiqùième de la longueur de J la tête, et-est pljacé un peu plus avâiit que le milieu : sa 'distance
de l’autre est d’un diamètre et un tiers. Les dents sont en velours :
c^]l|s,du .rang e f tériqurplus, longues,!giéles, réparées j le palais n’en
i , a aucqne, non plus, que 1^langue ,"qui est assezlibre et obtuse.
, La première dorsale a s.esfrayons en partie prolongés en fils[grêles ;
« l&. d|q^Iine, qui eÿ> le.plus long, a jusqu’à deqx^bis et, demie la
hauteur du corps. La second^ dorsale, êt l’anale sont longues et peu
^élevées. La îongueur^es pectorales et ^es ventrales, qui est la même,