relativement an.': teste et-’èépÿimsee^céfi^
neuse,% gueule très-rfendue-, aimée devdents-coniques et
gtèlesysur les mâchoires ,>! sur IèS: pàlatinsÉ,' et;le plus souvent
sur le chevron du yomer, survies pharyngiens supérieurs
pt inférieurs, mais point sur, la languesl£esrifeûdr«esLont
une: gîamlgr membrane; 'braûçh&QstègeoSia^t^ue par .six
rayons, et recouvrant trois branchies seulement de|chaque
coté. Il n’y a point de branchie supplémentaire adhérente
à., Ibpercide.iCatte pièG^ le i sous-opercule et l’interopèm
eufo sont cachés dans* tes muselés ; mais M piéopàreule les t
plus; visible. I l . n’y â point de sous ■. orbitaire^ iOeSt ;une
seconde anamialie^ non moins remarquable que celle du
nombre des branchies;,
;:Ces poissons ont deux.dorsales* jet lés trois premiers,
rayons de la mageoire antérieure^ semblent se détachée
d’elle et se .porter en avant sous forme de longs filets iter}?
minés pardes lambeaux charnus. GeM31ét§bso|it articulés-
par up^ anneau ^ir aa cerGleécorrespo-ndautrd’uni^dktMg
et [courbe sur le crâné. Ge mode d’articulâtion iie.n anneau
des rayons:des nageoires, avecdes interépineux, est. plus
commun qu’on ne; le pense dans: les poisson^<GésécîiiélO-
donsyAes silures, quelques cypririsl, en offre p fedéSrpxémples**
Les muscles moteurs de ces; filets dans la baudroie sont
également analogues à; ceux jqu.i meuventâeg autresrayons,
mais ; ils sopt plus divisés *, de sorte que M. Cuvier- aeomi
plèteme-nt raison , en i regardant, ces filets^;;comme“ appartenu
ni à.la dorsale, e.t l’os d’articulation comme leur interé-
pineux.
1| Voyez Baîlly, Annales dés* sciences 'naturelles, recherches ’sur les rajonîs des
haudrôies, : ;.s : üUp iliilfj v '
Leur estomac est très-grand *et très-charnu ; l’intestin,
court, a deux cæcums à son origine.
; Ces poissons nagent difficilement; aussi sè tiennent-ils
le pins souvent sur le sable ét etéhés sous la vase ^ laissant
leurs filets flotter librement au-dessus deux, ét attirant
ainsi les poissons, sur lesquels ils se précipitent, quand
ceux-ci sont à leur portée. Oeèt-là à quoi se réduit le merveilleux
instinct de la pêche de la baudroie. On dit quelles
peuvent vivre long-temps hors de ibau, et nous rapportons
l’assertion de Rondelets leur sujet; mais nous n’avons
jamais vu la baudroie dès côtés de l’Qcéan avoir la vie
tenace. : j’en ai observé plusieurs mourir très-peu de temps
après quon les avait sorties de l’eau, et avoir la vie moins
dure que les spares, les cantlières, les trigles et autres poissons
avêe lesquels on les prenait.
Nous en avons trouve nue figure très - reconnaissable
dans* l’Encyclopédie japonaise et dans le Livre japonais
sur les poissons, que nous avons cité si souvent; mais on
pourrait douter que ; ce ; fut précisément notre baudroie
d’Eùrope. Nous avons reçu des baudroies des côtes de
l’Amérique, mais qui peuvent être d’espèce différente : ni
Parra ni Margrave ne font mention deeepoisson. Nous
n’en avons jamais eu dés mers équatoriales.
Bloch, à la vérité, cite comme un synonyme de notre
baudroie le rana piscatrix de Surinam de Fermin; mais
quand oh remonte* à la source, on trouve que cet ignorant
médecin a nommé ainsi la jacJde, ou le têtard du rana
paradoxu.1
Une espèce en est commune sur nos^côtes de l’Océan
1. Fermin; Dëscfipiion de Süfiinaui, t. II, pu 264.
12.