vbyage d« (> pl. 4 5 , fig. Slf^oùs le> iom .de
baudroie géographique.
Cette- figure^ copiée- d’un dessin fait en mër, et non
y$rifi©è sy,ç l’opiginaï, pQùraaitv®^Têjqunrie^Æë,pi^3èaitati.on
imparfaite de quelqu’une des* espècfis-.puéeédentes. On a
çnbfié Jelprumier myom lîbre.y le s^®oiid, est ^fâpàéseiitd
<&¥#©, des dftntetotyesp bn y î mis ,, au liep^da 4 r©isieiné4
nne lUS^eoirevà, troiâ;f^#ns| pu nenva donné;quë-§âx à la
seconde dorsale et à; la pectorale^ et que trois aux ven*
traies la caudale>-an ©Dntrah’e y en a reçu un grand nombrei
to pfe$rcbo§e$ tellement siaagnlifeFps y qne1km »© pourridt les
admettre comme vraies;sànsipjvoïf lewpoissan sousTës ÿ&sm
Le texte dit qu’il avaitété pris souslà. figh®ÿfa%de la
NouVelle-Guinée, dans une; touffe^ de fucus.,
Il est de notre devoir cependant! de faire remarquer1
que la figure 4 (t. I, pL 74 ) de"5 eba orne ou des anomaËtè?
ou dçs semblables. Par les- ootdeui?s«lfo iessemble"
beapppup aux espèces ou aux varMtésquemdiit yenobi de
décrire,; mais elfe ma, point? de préfnler raporf>lite|| le
second y est très-marqué,« et au lieu du troisième; il y.a- une
na^oire à quMre rayons, qui s’unît par une meuibrane
basse à la ^eçouide: dorsale, laquelle m’en a que neu£
~ J É p tfeyons donc recommandei] aux voyi^euiES cEexa^
minçr s’il existe de ces poissons, analogues aux cbirb>
nectes,|1o%î le troisièmè raÿ^n libre soit rempkeé 4^ar dne
nageoire à plusieurs rayons. Ge serait une analogie de plus
qu’ils auraient âvelMles baud roîës proprement dites * et
d^mgtrfs sq%ans pour; le^ érigft’.veniun
genre parti çuliè r.,.
Les chirouetçl^s, fisses gu. à peu près lisses; q.ue nous
ayofis déèVits 'Iùsqu’ici^ ressemblent tellement > qu à -lex-
üèptiôîi peut-être du èliir. marbré, biefi des naturalistes
pourraient douter qu’ils formassent des espèces différentes*
L e même do u te pë peut subsister par rapport à ceux
qui vont suivre j ils sont bien séparés des precedens, ne
fût-cë1 quà cause de la rudesse extrême de leur p e au ;
>mâi»yBè? leurfeèté, jâlu&ie'iirS -dontre feux se rëssemblent si
fort que fo« bési4era sans dout©«usgiià>reconnaître comme
deü- 'èérâ C têrës ■! d^ip èéPës forrtfe 1 égèr es di-ffe re nîces qu e
nd^ y^àvott^ ^sigfial^ij Lës obseryâtiofis ’dë§ voÿagèùrs,
si jamais* ifs les font avec l’atj;ention néëesSâifé','ûOUS éclaireront
peut-être un jour à' ce.^ujet*. ’
Le. ChironeCïe â pr e . |
■ Çt&àfôttëâieÿ' Ütepiâu#^ ïiéfc-.$ *€hirom&es lophaiesl Qiv. , TVIém.
du Mus.)
A u § s0 ’u n d é t4ces*chironectes très-a’bondaus fu r ie s cotes
d e la mer des Indes,,;;e t qui, a é$é^représenté d a n s le s
Mémoires d u Muséum ( f c I I I ,p l . iq yê§ . ^ w u & le nôm-de
d ù ro n é e tè é iôphôtes^lmais qu e j^ brois le m im e q u e le
lophiüs hispidiis de lifo c lP , offre des rapports si frappons
'f f lË un autife êjtii ' vifent 3eS- A n tille s , q n é , sans cette dive rsité
d p rig inè , nous les aurions p robablement laissés ën-
seinblë.
Ses formes sont un peu plus, courtes et plus grosses que dans ceux
--dont iléus avons parlé jusqififei. Il paraît pq^o ir gonfler «(avantage
: son (ve^trd,*M .toute;sa pfeau est garme'd’asflrités fiées et jurées.
XJne suite dé tubercules âpres eommen&é sur le museau aux côtés
- des pwiéieKs'rayons libre®, se conduite jusqu a l« tempes et-forme
1. Syst., édit. Schn;, p. 1 0 , »•* 6 .