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tinguer-*sous le. nom de lopMus barb.atusi}rip$$r ainsi que
fa très^bien dit Bloch, qa’une baudroie. ordinairedont
lés -Rayons libres.étaienticassës.
Retzius1 croit'pouvoir la caractériser aù moi®£ comme
variété, en donnantàla baudroie ordi^ires des lambeaux
s#npl§S!Ket_-à .celle dff Mo®tind&s div.L
siôus;,ipais toj&esies. baudroies ont ceshorganes ^leçhiquetef
çt ciliés,de plusieurs denltelures et fila mens.- Retziu%, lqrs-7
qu’il a cru le contraire,, n’avait vu apparemmeqyt la baudroie
ordinaire que desséchée.
j J L Maximilien ^piuola“^annonce* une bâ^rjoie .pai^i~
çulière ,.nou*mée Imdegasso par, les^ëcbeurs®génôis^.mais
d -serbome à,indiquer (comme un >d%.„se§, c^a©|ère&|>Ia
forme triangulaire quelle pqrjfe ^au sommet de SQnpre^-
Hli'er rayon libre,, et n’entre' point dans .le défail* (lé jm
description.
M. Rissoji parle^ussi d’une baudroie plus rousse,- qui
demeurerait dans des.dimensions moins fortes, et que les
pécheUrs de ndmmentgannelli; il ajoute quelle est
d!_un -goût exquis, mais lui-meme déclare qu’il ne croit
pis devoir la -raarder comme une, espèce a jpart.v ,‘
Pour sortir des incertitudes qù des indications $i,inéota?
plètps ne pouvaient manquer de nous laisser, nous avons
dû revoir comparativement toutes <Jes baudroies quibse
Sont trouvées a -’notrC-teçlisp ositipq. Tout çé, qu elles mous
ont offert à.l’extérieur, s’est réduit a qûelques.diffèrences
dansées proportions des filets et dans 1/es .pointes des;.épines
de ainsi quelques individus nous montrèrenUun
*” \. Eauna sitec., éd-k. île ttetz-, ' ;2. AriM. dû jVfos.jflWt X»,; ]b iffft
— -3. Içhthjol. de Nice, pj 4ÏÎ.*” ^
premier filetqdus «court que h deuxième; e | surtcpt leiw
troisième filet et tous ceux qui composent la*petite nageoire
de la muquef^ëtaieûtj singulière ment courts et- grêle.s.H
nousmerâblaiti ÿque^ees memes individus, avaient la tete
armée.sur. les mot es dëpé*ues>plus sàïliafttes e-plus aiguës
maist ca^tctèresi.keu^.seuls ne nous auraient
pusMUencore paiu smffisans pou® diviser u®e espèqe que
tant dîeèiè&tes omt regardées comme unique, s i , en examinant
letequefette | mojsfef navk&s t r o u v è r e ce^baud^es
^aiguillons plus pointus., à-filets dè la première dotale
plus grêles, n’ont Constamment que..vingt-cinq vertèbres d-
feur épine dû dos bondis que k^gràndes, b^udr qiesordi-
nairesnfeW ont Constamment trente, TJne diffère nceFausst
coàsiâ|rablé n’ai^pjas paru; à,-M. Cuvier de naturër à pm
regardé1#cortime acoklentelle| |ji . f > ■ ;
-limitait cm également , que la pTemière^qorsalQj était
tc^ohrs'Tlus'- basse chezffèsî individus de l’espèc^ ajvingt-^
cinq’vé%tèbrêsj-i et il üfcraitpen&é dèvoÿ établir une seconde
espèfee de baudroi^ qu’il a^ndiqué^Mans, la seconde edu-
ti©n duRègnA-animal, spusie nom àpjophius,parvipirmis.
Le prince de,M®rignanQ, profitant de ^bservation de
M. Guvieiyn,£dans- sa>47apne italienne,,figuré mette,prétendue
séëo«de éip èt# s dus M nom de îophio martino
des pëcbe%k:^R c5m ë^ d e bMrbibuono^ de*ceux de.la
TUéane^et de budigo; d#cèux dé la Ligurie; y ajoutant le
nom nicéen de gannelli.ïêÊjs%^àè dette-baudroie comme
\e bphius bagâdessa de Spinoià etde Risso; et, touj^n se
demandant si c’estdb lofikius parvipinnis de C ^ e r , il cri^
tique le caraatère^Uï nombre* d.es vertèbres cité,par notre
grand anatomiste ; :ear selon M,^e prince de ;Musignanof
cette' lophie bugadesse n’aurait jamais moins de vingt-six