que des dents en velours,.très-ras sur; une bande étroite, avec une
• rangée de" plus longues^mais eUcore trèsrÆnes et très-serrées.. 6 3 y
en a ni au* p a i s ni à la i& É K . qui m jfà m P*? f c l
L’opercule prend plus du tiers delà ldhgueur de la'tke. L orifice
branchial, quoique ouyert seulement-dans ]a partie.^veftrtale, est
néanmoins, assez ample. ha guèr.e plus du d p u z r^ de
la longueur totale.; M l M m d’efl%,La vqutra^un pep
plus longue, fait parfaitement T entonnoir. La dorsaîe conS^ence a
l’aplomb du miiiemde la pectoraleT.^â, hâütïttr iWoyeirôeWà-peu
- P f l H f l M èJffe du f p p élle a sept rayon^mpTOt-quinze
bràhèàhi, vingt^dèis ehteut A h t le d e r f e double (c&qüeXabé*
pèdea compté vingt-trois# eÛ^se toim,justé^ la naissance .de la
S d a e . La d t e c e dm m n s ja u à t e f e esfe^s deux piwquièmes de
la longueur totalerLWe a ûn rayon simplfe^qdinzej-ameiM|.dont
le dernier dpt^p- 'i |
B.5j D.. 7/15: A. l'/î|ç};C. 18 et.gttelqùës pgpts ; P. 48
Sur le deUntfiSliësnë s^à^uent fûeobfrtme des^^elles
f «rendissent un peu vêts l’a r® , t e demeurent ^ « f o r è ,
petitis' rireoufeur par.aît/fauvë 'en*dessps, blanchâtre en dg^ous.
Vin* et quelques taehe^riangulrii^teeé ôçfehp-fexitHhutèlk lon^
odeur du dosM m joignent par des] figi^es^bandes, obliques A
autant de taclsmoirâtres, qui règuent^tput le long du t e au
milieu de la hameur. Les raygfjs despageqires sorit|^âtres, etieu.rf
membranesIrâsjareîites. La dorsale a sur la
K | | avânt de la q u a rayon,: la est un.pƒ plus brune.
9 Ce poisson a un canal intesûnalfort long^t replie sùf lui -même
un grand n o t e
m | p ® S K 9 | 1
t lobules, H porte -dans l’hypôcdndre g au^ ^ a sq a ’au de t e
domen ,le lobe droit est très-court. La rate, noire, alowgée; estrejétee
lbin de iKltoniacfi entre lé rêfetum% 1« «ècfénd repli du duodénum.
L’individu est une femdfe dont les oeufs t e d ’une petitesse extrême,
et'qui a une papille génitale aësez courte. '
11 n’f appoint dé vessie aérienne f les rems sont fôrt-^-ds: « '
',r/ u • p^s grand înÉitMu é^st lotfg de neuf
CHAPITRE XL
Des jépôdryptesp" $èê Trypauc%èfies et des
AmMytypes,
Dÿs APbGlTèTES.
Tes Iu^es Orientales possèdent des poissons à ventrales
riSunfês’^bmmg, tfellêf des gobies ^ àdeux dorsales, à corps
âronge, à Ton’gùe%'aud,â:fe pointue comme le gobie lancette ;
maïs qùtfe disringdént paT^(|€é leiifs dents| pointues* et
_sëparëfe%vse>nt sur une seule rangée? à chaque mâchoire,’
sads"' délits eiT velours, et qu’il |ËÉ èn a deux un peu en
ffrilpe darfs la mâçhofri InTérïëü'ré.^ Leurs écaillés.sont
generalemont trèsr-netites.
avons cru detfeir'ën faire un petit genre Séparé,, et
leur alléete p:sp,©Giale.men t le. nom iïapucrypteSj sous lequel
QsbecR avait compris une de leurs e&pëces^observée près
de ’Gantotù, celle qui'est devenue ensuite i€*glqbius< pecti-
nirostris de Linné. Buchanan en a décrit deux autres, qui
portent au Beriga^e leTnomjie'bAaw^MÆ^en commun aVec
lest JmbWopeï^don? elles o^tdutes' les hahîtuclësf c’est-
à-dire qu’ellèl s’enfoncent CMQmë èMs dans la vase des
étangs .et de l’embouchure des- rivières.
r. J^ur ^qip^g^né^q^e^à la c|te de,Coropiandel est vettf
( manche ou gaine'de coùteau), et il leur est également
commun avec l|s^amblyopes et même, avec les trypau-
ch Sms . f
"" 1. Il yM^îmuftetroisiém'e^son Golius viridis, pl, 32, fig. \S, mais qui esrüïi
périophthalmèi^'-