d u reste les mêm'W Êàràoterëâ. Gè p o i s o n serait dont? du
nombre d e Hê3eâux dbu^fel^cellesde'
la mer.
L e G© BIE . ElNfêANÎÿL^NTÉ. '
; ^Gr&biûs vrâëfttâhW, Gïti.’ )*
Ë!& cfeis jpjji^s les plus répandus. 4$ps ,
et celui qu’il es.t le plus facile -df reconnaître qi^pd il §st
frais, &’e$t ,1e ^goMe ensanglanté(gobius £menti$a$Jd&
Gmelinj décrit pour la première fois, mais sam? n©ipi^|ar
Brünnicli \Tchihyol: Müssït.> p; *3 o ) , et réconnaissable
aux tachesrouges ^divfeBses parties de.sqmicorpf, surtout
de lèvres^ rie ses joues feÏ5â# ^ s« i^ 0<^»»^ ^
proportion*^ sa largeur ne dépaâàe pasf sa hàuteüiPt; l’oeil plûs^rand
(de près^du tiers de la longueur de la tête),. plus rapproché de
l ’aiifré (oun demi dl^és pje^torales
~ l moins fcôiiihMlbf'(îl'p'y^ a que trois bü^^àtrë)f;elTOëîttâstïrliies:
^ 1 en^èst’de“ métaë dès^yèns' oipdilîàfifél5 de ï^Fn%|iàn*(S^Wr
La membrane antérieure dé Sa vchtralè est courte. Les épines se
joignent aux borés de la nagèbire', ët’ iie forment point d’angle
saillant. ;
l/14,:âéii{ lè déïü'iè# dÔüMè'î
Je ne lui vois cjue quatre lignes vertiëalés de joints soüs l’oeil :
.mais les ;dèùx ldngitùdînales de là ‘jdü^sbfît biénprônoneéeV II
y eïi à qoeurë Sur la nnqun,i;aont les deux nâfôÿ^inles ont en
avant une transverse, qui fait âveèaélïé iiÜ H HMiipi
* Ce poisson est, -d’,un brun rpqs^âtre, marbré d’un brun plus
# foncé. Ses jèvres» Igs branches d.eisa mâchoire>inférie,ure^rle "tour
I de.ses joues, ont de larges taches d’un beau vermillon.. Des taches
semblables sont plus ou moins serrées suf ses nageoires, «font les
verticales ont aussi du n oirâtre liTéxtrémité des faÿons, etquélque-
fobmespoints bruûs sûr leur longueur. La ventrâlé ’è^t plüs souvent
grise.
• .^pcp^ei^t au-delà. „
|3 B B av.on^ reçu cc'gotie en nombre de presque toutes,
les >4# foulon p^T MM- Rieuer
et Banom; de Mârtignespar M.Delalande; d’Ivica parM. De
Laroche, de Çorse par M. Payraudeau, d&Nice par M. Lau-
rillard, de Naples par M.Sà vigny, de Messine par M. Bibron,
de Maltejipar M,.Deach5 en sorte que nous devops reorder
cette espëce comme la plus commune^ au moins dans la
pmlfe de cette mér qui est en deçà de la Sicile : elle passe
mêfcqe lq détroit de Gibraltar; çar MM. Quoy^et Guimard
l’ont prise à Algésiras-.'
On la nomme à Toulon gqbi-roujé^a ^ice gobou rouge;
à Venise paganello de mçir, d’asprép ,d e sasso.
Brünnich (pdjft)b et Gmelin d’après lui (p. 1198), se^
demandent si ce ne serait pas le jozo de Salviani (p. 2 i4 ,
fig. 3); mais l’oeil de ce^o^o^t^bl^ucoup .trop petit.
M.Risso ^jpus apprend quple gobie ensanglanté su tient
parmi les rochers,' que l’on en |>rè$d toute l’année et que
sa .chair est d é lic a t
Le G obie doré. ’
; (J&obiiM~i^Qtus^ Riss.1 )
M. Cuvier ,a cru pendant.,guelquç temps que le gobie
d.@cé,; de M. Risso .était un eleotris, et ç-ç^t ainsi qu’il l’a
cité dans son Régime animal, Morne II , p. 247* Dés observations
faites sur des individus mieux conservés, m’ont
appris que l’espèce ëtt-un vrai gobie, qui représente a peu
près en .petit le gobîé noîn1*^
1 . Riss., 1." édit., p. 160 ; t&'&ifâfi