dans la neuvième édition le callionymeavee ruranoscope ;
mais dans la dixième il sépara âVec ' raison deux espèces
pour en faire son genre. Callionymus, et il laissa l’urànos-
cope devenir le typé d’un genre fort bien caractérisé. Mais
Mimé g&îa dès fodginlPèe/génrè, qu’il établissait en y
adjoignant le poisson quil nommait callionymiis indicus)
leqùèl est, OoMmé GuiHer l’a faitf^oir (t. IV, p.
un platÿèéphalëi^' ’
Auctfirchangement ne survint dans la douzîëffié'ça i tipn,
etçsf de
treiÉièiMflëditiOnpIés additiOns qu’il fit au gënf^uoiméâ
en partît, àtiraiénfPpu ’être meilleufès, parce qu’il' ëtkit
dirigé par lès savans traVaùx de Palfàs.’Gelûi-ci fit connaîtvë
plusieurs " callionymes/ nouveaux, ignorésdu téirips' dé
Mnné, êÉ décrivi|^ommé~un caïliomyme le poisson rare
et curieux qûjl opserva^spr le-Baikal. ; ;
' Cependant oépoisson,, qui manque de ventrales/au lieu
d’ëtrëtèonsërvé parmi les calliariymesf adrait dû être" distingué*
comme ' gëûfêr', à caàsëJ;dé !éè ckTèfdÉèëst ceVpie
fit M. de La‘èéfi:êcfir(t“ ï l ,pf. 3 /é et 3 ri3) sôWie lidnf de
comépïrorè/mais ed le classant,* §•* barrée dé l’absenc^ de
v^ûjÊr^^f/‘f(8^iàà':'Tiû' OWrè différent! et ëiéilnëldëÿ caffiô-
nÿmësppüis M. 'dej ËWcépèdë iétira du1 ^ëntè d^lEïmnë
encore le icàllîcnÿmïts indicus
dû rentrèr^ans'îëi plafÿ^ffiàlé#de
BlÔéh.
Il WP réstiïtë d i ^ :1ô9vàil' quë le -s^ëEirë* Efflibiiÿniê1 f dé
M. de Lacépède a été réduit à ses véritaMëï limités et
a ëinq espèces?*”11
1 Sh^vv^a rien changé t au travail de Cmelin; mais Bloch,
dans son édition posthume,,, a laissé tout'^Hfàiti dé'cétè le
callm Tïïpjn us buikcilcnsis de;- Balles , e t-â forA mal a-propos
ajwilé^'ifes callionyraés-fespè ©P de.' Fbrster, qui n’a qu une
seule’nageoire du dos.’ Par une idée encore- moins heur
reuse il a fait du catlionyrhus indicus un batrachus, ne
reconnaissant pas dans là description, du grand martre Sué?
dois .sou plutycephalus spatulçi, Dun autre , cote Bloch
faisait connaître un nouveau genfce de poisons a rayons
antérieurs de la dorsalcuprolOrig^^n'longs, ûlamens, gp à
nageoires centrales jugulaires’ et eanfprmëes^co mme celles
desîcalliônyrq.es,-c’est-à-dire que le.sf rayons internes sont
plus ton^^que' lés^èsternes. * * * * “ .i >cî ï$ tf ■> |i§ || ' -
Malgré qûfe lefs‘ oiiiés soient très.f fendues ,--comme dans
le plus »grand nombre des Vautres .poiss/ns $ M. Cuvier. le
rapproche ‘d$q eafllionymes, èt-éu effet, ils ne §'<piït pasréanîs
rapports; îjs^eij, ont aussi avep^ef gpjt|ie|,j prinfjipalernent
dans la disposition, des «ventrales ; ^ û '^ e u x -d . ont les
raycsns internés plus longs que JLes" externes^ mais réunis
pour former la nâgePïfe* en| vent-o‘uSe, qju.i les caractérise.
Què;J^)n'^uppoiSt les éleux u^ge©ires.MSépurées,, çpmpre
rieNffi’ les Voyp'rts/d^àvd^ lès élfOtris., mais plus écàrtées,
et nous’avons les*veqtrpl’es'de la plupart des-genres dont
nous parlons dansée cjaapjhr^, Lq, simplicité de leur canal
intestinal réunit également tous ces,» poissons.
Quant aux Goméphores^ ilSj, présentent une anomalie
semblable à celle qu&npus avons rencontrée, dans plusieurs
autres genres/et M. Cuvier a suffisamment démontré qu’une
iüéijiôâfe ’fondée sur la position des nageoires^ et surtout
deV ventrales, rompt beaucoup plus que toute autre les
rapports naturels.
Il résulte d^s^gtr^nçheijiens que le, genre Callipnÿme des
auteurs a subis', quil est caractérisé par ses ouïes ouvertes