Ge missionnaire nommait cë poisson cephalùs Jluvialis
minor vulgô su ùÉ r iet cë^erûiér'hom, qui était de* Son
temps'usité à la Martinique', annonce #gue 1 emploi de sa
ventrale ,jéomme® Ra^ignOré des
colons. Il le dit fort ùiultipïié dans les^ iv }^ des Antilles,
et assure qu il est dé bon goût et facile a digérer. - ^
Nos échantillons ont été pris |tor M.; Ple^ dans la rivière
dAnagüabo i PortodRaco. * 1-1 r;
Les Espagnols hïe xette île nomment l’espèce eZ oUvo.
Les viscères <L ces poissons ressemblent a ceux des salarias, cest-
à-dirëjgu’ils o ^ lâm 'â e u x un canal inÿptinalj^ul^sur lui-même
comme celqi de.nps têtards de grenouille.
L’individu que.j’ai disséqué', long de Sfnq pouces s i g n e s ,
,conien£t dans sâ cavité abdominale, d’un pouce cinq lignes,qàn
canal intestinal "qui, développe, a, un-pied dix ppuçes sept lignes.
Il était replié_ quatorze .fois* sur lui-Æênje.
L’estomac est-un peu plusïargeque le reste dji tube digestif. Le
foie ,je%t très-petit j la: rate à peiïïb grosse^cqp^nej *u n d e
cbenevis, àu centre de la masse intestinale; les deux laitances étaient
de simples filets: il n’y a point de vessie aérienne, le péritqiiiejest
. brun fonqé.J .:
La tête du sicydium de Plumier dans le squelette est
. rente de celle du gobie, par la forme ronde en avant, et par la
largeur du front entre les
museau est couverte par les os du nez et les premiers sous^rbi-
taires; quant aux autres „ils sont réduits à peq près à rien: le maxil-
laire n’est aussi ^u’un léger ;fihtt ; . . - v L
Le dessus du crâne est large, légèrement convexe sans ,crê^;c est
à peine s’il y en a vestige à l’occiput, qui'ès* tr.ès-peu élevé. Le surscapulaire
est étroit; les o* du carpe sont très-larges et non p ré c is
dans leur milieu. Les os du bassin , sont réunis en une espèce^ de
1, Bloch, part. 5, p. 125.
■ coffre triangulaire,«dont\une#dé$ arêtes est supérieure,.et qui doit
. loger des muscles puissans. L’épine du dos et ses accessoires sont
: comme dans les gobies douze vesjèbres abdominales; quinze caudales;
Ses. dernières-7 apophyses4 ransverses de l’abdomen obliques,
, dilâ tfe ijfbf^ n t itae ;ésplcé An basStp; desseôtés grêles ^yecdéfirs
appendices, etc. f , '■
É è VÊTë" ‘BE éfckÈVïOE.
(Sicydium MgQcephalum, noki, ù r o îj^ ïasocêphalus, Plall.)
L a description d e c e lle ckpèrce ;paîrKtelreute,r<? ,‘Ost.Wès-
d é ta illé è ’üét Ttrès^ $t'l5îen q ^ P a lfe îs dKs'è la sienne
plus" compTete11^ ^ tr tfuW x îa f cjfàë Itiftte
asserüop soit j us ti f^ e jGmjendantlâ'fiaûre a e f allas copiée
dans l ’E i ^ diq u e A sans^tçe-P?êm^ absolument
Cxaetei [lej&dorsalës^y-^sont mal ren d u e s ),-e s t faite
djaprès un individumieuJ rçgnse rvé que <^jai d e Koelreuter.5
C e naturaliste ignorait la o a fr l d ë l ’ë^p èeè jPalla’s la c rpyaif
d A m é r iq u e , mais^plle est certainement çRjS Indçs> Nous
l ’ayoqs peqaer plusieurs fois d[es- eaux dtmcesdde l ’I s le -d e -
France set d p 1 îl^ d g ^ q u r b p n par M ^ ï ^ ^ è n a u l t , Q d o y
et iGa^m^d^^^esjardins. ,et Dussumier.
Sa ressemblarffee' aV’ec'l’esnèce de Plumier est trappaute pour les
fopnes.générale^“et ÿoupfousles caractères génériques; cependant
sa tête est moins» large àvpçôportion : »sa la£j$ur, ne surpasse pas
sa hauteur; sesqdorsa-les .s-pnt moins hautes;.,le troisième rayonne la
première, qui est le plus long, n’a que la hauteur du corps« et la
seconde dorsale a moitié mf)jqas. Il y a un rayon de plus à cette
nageoire, ainsi qu’à l’anîlù
d.
g i. WbKicomÆ.*Teifè^:, t. ÎX , ^r*4a8. BpSP® 3. II.,
pl. 2, fig. 5, © et"7„'—>- 4. Fig. i41. — 5. t . tît-1, $1.9 , é£<4- - f