k; (Callionymus t dracunculus, HîiitHjjltpg
Ge.jl’est tr;ës~p^^aDle]£^|i| qup ^g^JIe du gqïlfo-
riÿrnus lyra ; on, Jes p^e-nd pjç^squ§£if^p|pu^
leur seule différence consiste en oe qu%: .
fcTfe dragohnist&jfâ tîste ùii peu plus courte, la première dorsale beau-
1 OT%pl^iuÿMé^pl®^8fii®& giifiîraï BéàüîSpTip pfuf péd(f%f e^SWÎes
l couleurs moins vives : toutes circonstances assez communément indicatives
du sexe ŸémiîHfi. 1
Cependant plusienj'S auteurs, upmméiqent Di|ljain^I,
contestent, que les > ^ 4 ^sol^.;^Qpjours mliëlse t lés dragonne
ts toujours femelles y+«e%* si 1km-; excepte *Pallas> la
plupart des naturaliste^ tes ont considers comme deux*
espèces, îfàÿàfit pu ëfièore nous assurer do'mplétémënt de
d® qu’il en est,' nous'fioùs’Bornerons^de'dfîre^ici ïe dra-
gonriet uuinpâratîfeÉiènt âvèc dlfcallionyme lyre?*’
l a caj^,epr,.esj dpiniciUÇ. orangée en, dessus j, mais les .taqtes y
.spnt plus petites, plus nonibTe^çsr.jet inpins; vives,, plus^gçis^tirps.
. Il a de laudes latérales ni interrojoipujes ni pntièrps. PaRTp^parTlà
s o n t w a ^ u s e s , brunes : la taçhetrafisyejrse spins fiesdfpx
demies rayons dorsaux s’y .fait bien rernarquier. f > g|
La première «iprsalea ;ses deux. prpmiersr ayppSjet,leur intervalle
_ j }§ figRtg jii^r^tjçe^ ^Laisççppde »est prangée sajis^^fee^ lpn gi-
tudinales, .L’apajbe est blanche »pp^que „les pectoEales et les ventrales
j spnt blanchâtres, .à raypns. Orangé clair. La caudale «Êt*gdsâtre, et a
une. raie |tpi^a|i-§renire'l® sepjiènief^t le Ixuit^jnp^ rayon,/
L’enlüminiiïë de BMeli ^ l l 162 , 6g. \ f hst èü^&te^tes
fausse qijdcël|èàïù éallioiïfymus |frd. :
■’ Ce dragonneau, qui régie danskles dimensions toujours
plus petites, n’offre dans la disposition dejseSjffifiq&efj du
daàs^l^^ôlvttes 'de IflJti ?squelètwei^ aucune autre différence
que''celle ^M^i vèsa taillé* j mais on n’y voit rien qui
puissëelélfe'1 üémMê§BébrnTti& s|/ëdifiqüe. m
Si l’on s’en* fiait à la plupart des nouveaux ichthyolo-
gistés, la lyrfe ëüle drâgonnet habiteraient également l’Océâfi
e t là^ Méi^terpinéeytftliis je ne :-^p&”^)ï)feirqû’f&$#}trbü-
ven t dans èètte demitië Mer. MouS réëfi -avonsj&fiiais reÇti$
il! ont été inconnus des içfiiÈ^4I^^Stes*duséïzièni^4iècle:
car le Mbécïèticidiis■ ■ du? làtMrè d^'ilondetefe^i^yo/!t2,
pJf$f|l)^*qu!On rapporte ordinairement au est une
autre'*'espèfc’èv celle que laongr'd;ê<Mrdnf-fJü§%>ïfi3fëUsi lé
nOrif .de callionyrkus fèstivus'.
^/Vtllughby (p. îâ^j^'Ray Op- ^9) ? Artedî ( Geh:, p. 49;
Sj’n.j ,p-î77')> n’ont parlé que du poiSsOn^ dé Rondelet, et
d’après Cet auteur le lyra de Rrünnich1, lequel au teste
s’apercevait déjà que son poisson ne cadrait point avec les
eafe'éï^reà'alignés’ au vrài‘ îÿrà par. Linné* est en effet une
aûtre'’espece, Celle que nous appelons C. cithara, et j e|ne
douté’’p'oitit qué ce' C. cithara fié sbît' àùssi le C. lyra de
M. jRsso.* Quant aü G. lyra et au C. draciinculus de
M, Rafjfiesquepcomifie il ne les atpas décrits, il est probante
qu$l fié tes a nomsfié's, comme plusieurs- autreàde sës
poissons de'Sicile, que sur la foi’d’a'ùtfuii Sa troisième espèce,
Giftiaculatus*, est ifiCOntestablèfiient notre G. eithara.
Il ésl tîieii élttaifi^, an cotitïâire' j1
habitent noéfèo^ •dëfI’©kélaW^ %t qu’ils réinbfi'teui iassèi;
haut le lô# â,i^ S !ré'eû(èiffi^ nods-mëîue à
Caén el à Fécamp, et nous lëSavbfis reçus de La Rochelle,
par M. d’Orbignyj de Granville, par M. Àudoüin, et
1. îcht. Gàràifeïï, pî*!® j l i 15k, figT f?