couleur, avec de petites taches éparses et;des points verts*
semés çà et là-j ses pectorales tirent'à l’orangé: nous l’ap-
pellerons boleophthalmus sinicys.
Dans le recueil fait (à; Canton et que nous devons à
M. Dussumier, en est un troisième , aussi à première dort
sale haute et pointue j gris, finement pointillé de brun, et
ayant çà et là des groupes de-* points blancs mt de points
verts, épars sans régularité ; : quatre bandes d’un 'gris plus
foncé marquent la base de ses pectorales : il prendra le
nom de boleophthalmus chinensis. Le tout en attendant
que l’on ait pu avoir à leur sujet des renseignemens plus
complets, f t l *
CHAPITRÉ XIV.
Z)es Eléotris, {È leo trk , Gron.f, e£ des Phibypnes
( Philj-pnus, ndb.fi ■
Sfqus avons établi au commencement de ce volume,
page 3 , que nous avions'à faire un groûpe dés gobioïdes
à ventrales séparées. Cés espèces viennent seajanger pour
la- plupart dans le igënre Éléôtris tel que ]VT Cuviër l’a
con^u, mais quil n’a pas suffisamment bien caractérisé
dans le^ègne animal p î .e éà.) p.V4'6j* c&r il a -omis dè
parler de* la dispdsition des dents dè ces poissons. La
plupart d’entre eux ont le paiaisfisse; ce sont toutes, les
espècégîdont nous allons donner- et "qui sont ou
nouvelles ou mentionnées par nps prédécesseurs,et citées
dans les-notçs du genre éléôtris de Cuvier. Mais l’espèee
dtinriéedans cet ouvrage comme type du genre, diffère
essentiellement par la présence de
dents en cardé sur le chevron du vômer. Xüette espèce
inconnue à M» Cuvier lors de la première édition du Règne
animal, n’aurait pas servi de type au genre dans laiseconde
édition, s’il l’avait comparée avec celles dont il avait composé
son genre élqotris dans la première ; aussi ai-je pré-s*
fédé^donneràsori eleotris dormitatrix un nom générique
idistinct, et «Kserver la dénomination d’éïéotris aux espèces
que M. Cuvier à^ait d’àbofd voulu réunir sous eé nom.
•On peut remarquer q u e * - Cuvier à indiqué Mans la
note- 3 de la seconde» édition du Règne animal (. t. II
J§ a ^ , f l a réforme dit genre prochilüs^ rapproché dés
énoploses et au^es' percoideà yoisins, dans la première