petites et dirigées horizontalement, si ce n’est deux fortes
et platées plus en dedan*. : disposition qui rappelle celle
des apocryptes. ^
DES PÉRI O P H T;HAL]\|ES%
Le premier de ces deux genres, outre ses dents, se
re^Unaîtiénuw'e^it pn profil qui tombe rapidement au-
dessous des«’ yeux, èt’dait ainsi éveteda ligne ïâe' la nuque
un ;peu* pLtus# S-Ja;"ppînii duqdebssnt ^fobas^és ■ les
yeux^ rSpprOcM?! l’uh de l’autre * munis. d’un#paupière
inférieure trèk-ifiarquée et susdeptible
façon tï^s-singulièye. *
Il en existe deux subdi^fëon&; daims les/uns le disque
des'ventrales; est séparé dans sOn- milieu presque; jusqu a
la base , ce «qui-les rapprochgNln peu dés» îéiléotrisy a>®efe
lesquels Lacépède -les_à même confondus1 s©ûs le nom. de
goèiamores; dans les autres-ce disque est eritier/comme
dans les vrais igobies, • .
. â Le^PÉaroFUTHAr3ÆEy®^Li^u^E®/ ■
( Periophthalmus Koelreuteri, Bl: Schn. ; 'Gribius • Æ xtiwtteif:ÿ ' ■
Palb'ét- Gïrtels)'; 'I ■ ’
v g g Ùg ' '
Parmi les espacés a ventrale freS'r- écliau^^Pa pins
répandue e^t celle à IaqueÏÏe PaËas1 a attac|j$'le nom dé|
KoelreutCr, naturaliste, qui eh .avait donne la première
descriptio’n ^ et qui avaitiravailp -utdémént a T3®itbyoï.
Sine.', u v m / | r & p t x ISgV i: 1^/En^çL.méfB,/ IcHtyoî., tf.° 'lÿg/-
2 PeiT&pil ffwHI, fîBBpiï Ifp!
fogpÿ^vtmt^d®$eftèénd®è» osélè^ep*ardes- belles expériences
suf lés -mulets végét'afox;fmaîis‘Pillas et KcëïÉêutér n*èn ont
eû qué des ' ecnantill©n|>décoioréset en ' ignoraient la
patrie : double lacune, à laquelfo..no/tis èoirimes heureusement
en jétat de.sup^j^çr^Notts^avÇins r\çu cê pcJisson en
bon état, des Séehelles, et dpsyétang * salçs de Calcutta, par *
Mi Dussumier j;de Bom^y., par feu Mi P. Roux; éhrport
Praslin à la'-îSf'ouvelIé-Irlande jgàes eaux doucesde WaigiÔu,
de ' Fîlë«- d’Oualan et. de celle dé Bourosa, par M'M. LeSSon
éfê'Garhot; de la Nduveite-Guinéë et de I île de Vanikolo,
par MM. Quo}* et Çaimærd; M.'Æluppelvtn a pris dans la
nier,.Ëgugp^,ainsi.il habite toute l’étendue de làhmer deS
In d e^ f;-v
. . . Sa hauteur auxpectorales est dti septième de sa'longueur ou
d’un pair moitis.', ét-l^icdr{tô est‘Ireet endroit d’üu cinquième moins
ferge qué haut : il diminué* eà?'Arrière, surtout en épaisseur.
SA tête ést qAatreifijis-etaAmie dans sa/longüeùr, et saaesaitdâle, -
Un-peü .pointue, cinq fois % demie ou^six ^dis. La hauteur et la
'’ largeur’ çlledà tête sont également des trois cinquièmes de sa hau-
'i'.temr. La ligne du dos1 se- contiAue'horizoïmlëment jusqu’aux yeux, .
cè qui prend aus^dfesnrois' cinquièmes de la longueur- de la'tête. -
En'avant desyéùx le profil tombe verticalement : sa courbure traiis-
verse'èst demi-éirfculàir^pLes yeux sont placés ainsi à l’angle que
les deux lignes font ensemble fleurs patipi'ères supérieures, ou phitôt
les portions opaqtiés de leur« cornée, se touchent. En un
repli djp la peau de la joue forme une paupière inférieure très-pro-
nôncéef nt telle que l’on n’en voit pemt7êtÉe pas dans aucun, autre
g genVe'de poissons, et au-dessous de cette paupière est une fossette
assez profonde.; ■
"|0rf||iutre répli de la pea^ suspendu. aux; sousTorbitaires, tombe
au-devaht;de la mâchoire^snpéxiéuré et,lui fournit ainsi une double
i lèvre fort épaisse, qui, a .^chaque. cQ,té ftmà pçtitejproduction anguleuse.
Il y a en outre la véritable levre supérieure membraneuse.
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