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Mais déjà le disque s’est agrandi, et les pectorales ne semblent
plus être aussi longues, quoiqu’elles le paraissent encore davantage
que datis cèlix qùi sont plus: grands. Les villosités de la pectorale
• sont encore Àondantes, nEiàts les cils du bord libre ne dépassent
plus.la membrane. La première’ dorsale est haute, comme M. Cuvier
l'entendait,,et les npmbres, spnt
D. 3 __11.
Wnéti^Mèinfë&udroi.e demies*,-,par-$L Savigny, longue
de; neuf pouces, fg|
a-la première1 cforsalè haute, et douze rayons à la seconde. Ses pectorales
prennent les proportions ‘épie nous trouvons à celles dçsr
adultes. Les villosités d'n corpe-sontf plus rares; elles forment dés
frangés-dét^ppées.,1e long des mâchoires,- surtout de l’inférieure,
et de chaque côté de la queue.
D. ig i J -12. '
J’en , ai une. autre 4 « Ja meme taille, qui vient de
Marseille, dl.ou.elle. a été rapportée par feu M. Delalande.
CeÙekci est grisé-ou mieux d’un brun mêlé d e rotissâtre,'ëiFau
lieu d£ marbrures elle a tofuLle: dessus du corps couvert de petits
cercles rapprochés et dont la 'circonférence eét dessinée par un
sablé de très-petits points, noirâtres.'Le ventre est blanc; les pecto-
' raies’son t’ plus nôilés en dessus ;lesfraùges du corps sont plus
^ ’rares.* %
La première dôrsale est basse |J a seconde n’a que neuf rayons.
' *D, 8 — 9yëfci *
Le premier rayon libre est très-grêle.
Une autre baudroie, qûe feu-M. de Laroche avait pêthée
à Barcelotme ? !
j ^également lai dorsale basse, npuf rayons à la seconde, le- premier
libre grêle, de nombreux frang|s;i6o|^^aïet bien découpéesf autour
du corps; elle est uniformément rqux très-pâle.
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