Quelques rapports de ses couleurs avefc celles de la lote,
noifS ont engagés à lui en affecter l’épithète.
■ Sa tête est d’un quart plus haute que large,' et comprise plus
de quatre fois dansla longueu»totàle. Son oeiï n’â guère plus d’un
"’lixième de la longueur de la tète, mais il est placé un peu jplus
en ayant, que dans le G. capito et dans le G. guttatus.Ca distance
d’uti1 oeil^à l’autre est juste'^du diamètre tran^verse de l’oeHï La
membrane intérieure de sa ventrale est fort courte, èt ses pointes
ise joignent dé chaque côté aux bords du disque. Sa caudale est un-
peu pointue. ; i
D . 6 — 1/ t^ ; A . 1/18.
Les lignes de points au-dessus de l’oeil et- à; la joue, sont bien
^narguées ; mais c’est à peine si l’on peut âpèreèvoir celles de la
\aiuque, excepté deux* ioamédiat^^i^ an-devant de la première
dorsale. Le tronc a des marbrures d’un brun foncé, sur un fond
j aunâtre pu roussâtre.
? La première 'dp’csale a trois baûdw noirâtres j la deuxième et
la caudale, de.nqmbreuses taches noirâtres sur leurs rayons; l’anale
est brune punpir^jre^aps taçhes. La ventrale est grise ou verdâtre;
son rebord Intérieur ne forme point dânglçs. La pectorale a des
» lignes i transvases., brunes, nombreuses, et a sa hase vers le haut
une tache noire prononcée,, presque ocellée, il y a aussirunetache
noire plus marquée que les autres rnarbrures, au qpté de la queue
( prési de la hase de la caudale. La joue, l’opercule .et l’épaule ont
;, des gouttelettes de la couleur dufpnd ou blanchâtres^,.
La gorge., la poitrine, le ventre et même le dessous.du tronc, le
long de la caudale, n’ont point de taches.
' jW ^ individup (îht près de sépt piÿucés. ®
| M. Bîbron a: rapporté ; dè“ Sicile une; v^Çïéié de cette
espèce où le ventre! la'vèntrale et Fanage sont jaunes, et
ou des'taches ou les lignes des autres nageoires sont ,rousses.
, M.Delalande en a. pris aux Martigues une autre variété,
au contraiïe, plus brune que celle de Bologne, mais offrant