à mer basse sur la vase du fleuve, et qu’il ëét"appelé
tibilank par les nègres^, 1
L’espèce ne nous paraît différer en rien de sensible du
periophthalmus p a p ilio 1, que Bloch assure avoir M l
Tranqùebar. Ce serait une circonstance assez rare?5 îffue
l’existence d’une même espèce dans les parties chaudes des
d e u x océans, surtout quand elfe ira pas l’habitude de faire
de longues courses en pleine mer , ni de suivre les navires.
Mais on sait combien il faut se défier dès assertions de
Bloch, sur les localités..
L e P ériophthàlme rayé p ’argent ,
$ Periophthalmus ammtiüneatus, nç^.) |g
u n^ feM éspèc^j tëùte semblable, pëSÉ fësfbrmfis,
au péridphthalme Koelreuter.
Cependant les proéminences anguleuses de la double lèvre sont
encore plus pointues.’
D. 15 — 1/11 ? A. ï/ltf/etc.
La couleur est grise nuagée de brun, et blanchâtre en dessous.
Une vingtaine de lignes verticales argentées, étroites, peu r é g u l e s r
occupent les côtés du corps; des points blancs spntrsemés sur les
joués. Sa première dorsale a des points Blancs plus ! gf9s ^rb'nds,
irrégulièrement plaeés sur un fond gris, et une large Bande' noipe
parallèle au bord. La deuxième a, comme le périoplithalthe?S.oêï-
^ : «Buter /iune large bande noire entre; dbux ligneé blanches %• ,et des
' points blancs; il y a du brun sur la.capdale et la peçtoçale; l’anale
et le dessous des ventrales sont blanchâtres»
Nos individus n o n ^ ile deux poucesièfe demi? Illcviennent
des~éaux saumâfres de- Me-. deÆaigiqu jeLjcfexelle
1. Bl. Schii., pi;
145
d’Gualan,'#oi.wils ont «été apportés par MM. Lesson et
Êràrnot, qui eh ont trouvé aussi a la Nouvelle - Guinée ;
fÉ Raÿnàud ëh a pris de §éMMàbllsf dans l’Imwàddÿy et
MM. Rtihl etVanHasselten ont etivëÿé de Java au Muséum
royal de Hollande.
L e Périophthàlme d e Schlosser.
[Peiriophthalmus■ ■ .^ehhs^Bmy'Éh -Schn.; G&fcms SetiLossèri, Pall.)
Parmi lbs‘ péÿiophthalmes 'â ’Yhhtraies réunifes jusqu’au
bërdjl On doit remarquer ënpremieriieu celui quePallâs1
a consâdré à la mémoire de Schl'ossjër, piédecin' d’Amsterdam1,
dans le* cabinet duquel vu. •
' f : ' A part la; réunion de ses .VéHgFalâsi sa forüre géinéraièfest absolument
la. même que celle du périophthàlme Koelreuter;!^ tête, ses
ÿejiX, ses l^yresSe^^ûïes et'leursj^ygnsy ses.-nageojres, tgut est
semblable, si ce n’est que la première .dorsale ftan, peu moins
grande et n’a que huit rayons,.et que la pectorale est écailleuse
*Tipnj.les denx tfep'â%sÔn’étendue. Ses écaillés'et une partie de ses
dents sont,aussi beaucoup plus fohèsjleS cinq ou six mitoyennes,
et^Surtoùt celles 3eHâ'tin^Ëoar^up5én:ëÀrèï,:M)fit grandes, coniques,
' frès-ppintuês ; niais Iesdatéralés-so-nt*petites : iTÿifen-a eh tout environ
vingt -.quatre. La mâchoire inférieure peut!-en Avoir dix-huit ioû
vingt, plus égales'5et aussi coniques et pointues. Les deux-proémi-
, nfinçes anguleusesde la duplicàture à la lèvF& supérieure sont aigh’ës ;
rno^s la^yce, même s’élargit, m,oins^ur l^fiôt,és.;qîiecèlle du-périoph-
thalme Ktelreuter.
La ventrale.forme un disque rond et plat, noncchancré, mais
«^Seulement un peu crétîsè dans son milieu,-et qui a en avàht un
P* VèStiye‘de fébord.
B: 5;rpD. 8 — 1/15 j'A. î/12,’ lé dèîirief doùÊîe coiMme'd’ôrilînkire ;:W. M
1 •' Spic-, t.' VÎÏI, p. i , pl.’ii'fig. "Enfcycl: méth.,Jsht.V n.° nj|>. __
2î Pallas ne lui donüe que trois-raEjons; c’èst une erreur.
12.