LIVRE XV* PECTORALES PÊnrCULÊES.
gravée dans lê Livre japonais, dont nous avons déjà fait
plusieurs fois irientiOïî, et qui Offre tous les ckraefèrfes Mu
genre ; mais qui, de même que toutes celles de cet ouvrage,
n’est pas assez exacte .dans les’Métails, pouftpien^itpuisse
établir les earacjèrës dè l’espèoe. Son nom, d’après la lecture
qae j\L Abel Remusat a bien voulu nous en. donner,
est; en chhfà$ar-kôa'-4-tsi--fou;'ot.«n japonais cfkgaou.
‘ Dun autre côté Wahlÿ Savant bota%iste danois, a publié*
une baudroie qu’il nomme lopkius àetigerus, èt qu’il assure
venir de la Chine, nt Bloch;1 en a donné une qu’il regarde
comme la même, et qu’il nomme lopliius viviparus.
L’individu de Wahl étai t fort petit (de trois pouces)*; sa
figure Assemble entièrëùient! à motré*iespèce d’Luropét'ia
tête’Jy inoratife ïjülns étroite f mais notre baudroie Mkisou-
terit: ainsi dans certaines positions de ses 'mâcboires' etiÉè
ses brancMeâ. SoWckfactèrè lè plus apparentSeinMèèon-
sister en ce que les épines du dessus de lcèil et de la tempe
sont plus mùltipliuèsj l’auteur en'compte ci^q d^.chaque
côté de la crête orbitaire, et cinq sur chaque tempe. Quant
à celles des pièces operculaires et-de lépauie.j/u; ne.paraît
pas y avoir de différences,
Wahl né parlé que dé quatre filets, deux èm aVant et
deux en arrière , sans qu’il pèraîsse’avoir Vu 'âUeunê dôr-
sale antérieure, et il ne donne sr la dorsale et à l’anale que
cinq rayons chacune*
Là fi gur e M ô à t f^ B fô é h r parait faite sdr un individu
plus âgé. Sa ressemblance avec notre esp^ce commune est
égalemènt très-glande j elle marque encpre un plus grand
1 . Bîçmoîres de la Société d’Üist. nat.déCoj^nltagué, t. IV, 1 . çah.*, p. #HL
pl. 3 ,fig. 3' èt vt 81 Î. Sysüma, p.i4aj pï. 3 à. r :
- O llP . -t. BAUDROIES* ƒ Mf s I H Ü
é É M ^ i é l e m p s e a n ,M M * yeux£t;à la tempe,
q ü e c e lle de W a h l; e lle plapetrQÎs rayons libres sur la t r i*
e t d e u x , l i b ^ aussi, à d’en d ro it de la p r e m ^ d ^ e -
L e texte., comine ce lu i de W a h l, ne d on ne à la deuxieme
diMteâleJN i? .^ 'ïa a | k '-><î«*e c in q myops^inais; ia®#gwe M
■ marque buiteà la ^ e uw è r^ -e t .o e u f -à Vm m *
-!®jous nous-, sommesïpraeuré dleux prîtes baudroies .des
ihërs d e < lù t o n , * * q u i :ent effentiVepient k ^ ^ h u e s
-signalés p a r les d e u x -.auteurs que nous venons 4$ C1-te r i
nous- devons au moins les suppose^ de^ce&c.ontreps., puisque
noua* les avons trouvées .dans I j f e bpites d U^e^tes
W p a r ë ^ e u O sm e y e t tous, reconnus par
rfstès qui les ont examinés .pour être d e ,ce pays. €e s deux
baudroies ont encore; plusieurs c a r a b e s , que p e s anteurs
Oht omis,«ét qu i e o u s t a t e n t p a r . t e u r ^ m f c ^ M » W « 1
d’une espèce particulière;
’i,ÿ' vftoûibr&sesf, plu® 'pointues ,non -
m éK Ê m T
tempes en sont tontes hérissées. ï i y a trois épmes fascicules sur
l’épaule. Le maxillaire a ila surface exteroe^ude et ,cmqfa six tulher-
4 4 s , terminés en peinte U donne demepç la
narine deux épines, sortant d^ s
cellos d’Europe. Les dente exUr^jde rm-termaxillairesemblent pus
a S S I i
W«hévrqh du wmeîy * _ a i '
' / t e s filets.: des do?stlelsmè paraissém plus grêles et plus îengs.
t^smbmBrèV'éôntr fin péu ' diflférens. •
9 ; P.% • l
.Elles ont des marbrures sur les pectoraîl reste de la couleur
dit difficile -a ^trouver. “
Les deux auteurs. cités .au commencement d e qet article