demie. Son oeil est du sixième de l&iongueur de-latèté,àun diamètre
et demi du bout-du museau,,-à Un demi.-diamètre. d e l’autre,oeil. Le
museau est arrondi dans'Ira -.deux sens; les m âchons égales; la
bouche horizontale,' fendue ]ttsquV;;‘Sous^Farrière ‘de l’Oerl^et porte
à chaque mâchoire une vingtaine de dents, dont les dix du-milieu
sont plus grandes que les autres. Celles de- las machôiretûnfériéure
sonfr'disposéesWixontalement^et l’otf j voit Ils* deux in tè g r e s
• implantées sur tin tubercule:-jîes dorsales sont Basses.^ La membrane
de la première se continue assez loin jusqhaja basé-de la seconde.
D. 5 — 1/31 ; A. 1/30T.
* Les écailles sont fort petites, mais ”d’aiU.eurs f r i a b l e s à,celles
des ‘piécédenL'ToutJ^fiqiisih paraît '<ÿyb brun p h vV e .;p% Jâ Ie
en desspusvIl y v^des points bruns'sur ’fàyb-as de la caudale;
dont le fond esf'Mux.
■ Je nai puobseryer les vÈ&ëre^de €eJte^s|l'oé', ma^jai
fait'sur le squelette*lés observations suivàntiefc*-: £*•
' Lé crâne (ïè cet^o^crÿpte'est pluf^rôit- gué Vcelïïi <rés gdbiés;
mais presque^iussi plat. Lidrhite a-en arrière la deuxième pètîte pointé
que nous remarquerons dans îesboléophthalm^pifs tfsd'e ¥ épaule
sont semblables a deux êtes gobies; peux dqca|pe sont grands &fctan-
gulaires et presque membraneux. Le bassin est plujl^urf-que dans
| les gobies. L’épine du dos,quoique plu& alon'^g, n%_pas plus de
vertèbres : douze abdominaïes^utlizë' cmdales; tôW%es,^dëpléd?a
derfiiëEêî, en forme de cônes, disposées la pointe èb avant et lajfase
en arrière.. Le» apophyses verticales tiennent à la partie, antérieure
et rétrécie de leur corps. Les interépineux s o ^ o r t .petits f e(t les’
.côtes fort,.grêles et fort-courtes.
Les habitudes de'eette espèce sont i p ipemes que celles
du nei-vettjrou chaygncr: ç l î^ j t ie n j fïaep
b o r d s des riviàces prè^deïeur embouchureyeu dansies lies
salesî M. Dussumierjla trouvée dans les-étangs cïe Calcutta.
Les. Indiens la mangenj:.
Sa longueur .est d*j six ùbuit pouces. :J
ZAi?Ô CRYPTE A DÈXT3. EN i?EIGNE.
#
(Jpociyptes pecïîM^&slrts, hW.; &6biun péctinirostrié, Linn.)
A en juger par la description que donne Osbeck1 de
son apocryptes chinénsis, et par ceUe de Linné3, à laquelle
est jointe une petite figure, ce poisson ne doit pas différer
beaucoup du précédent.
Il a de même le corps Mongé,, .compfitué; la caudale pointue ;
les écailles jËfpbe visibles; les ejents découvertes, et celles, de la
mâchoire inférieure dirigées 'hqrizontalêment : mais on lui donne
d’autres nombres de rayons.,
, , D. jjfcfc 261 A. 25^ 15 ; P« ,lâj V. 1/5.
- Sa^maebOme supérieur ëade chaqueèôtétrois canines, et l’infé-
- rieure deux.- LêS yëux; sont fort haut placés èt très-rtrpproëhés. Les
, raycms de^la première dorsale s’alongént-Un peja en filets.
I Lè*dds est* gris, avec dés nuages roügeâtées et bleuâtres; le ventre
• : ;esj blanchâtre, les nageoires sont grises ; les déréailes Ont’des lignes
transversales bleues et des taches noires vers la base.
Il ,j|§t long d’un , (empan. ‘
Les ^Chinois d§ Canton nomment ce poisson fai-ja; ils
le prennent ven tendant sur le bord de la mer des nattes
qui le retiennent lors du reflux. Il sauté alors avec vivacité,
et lorsqu’il ne voit aucun moyen d’échapper, il s’enfonce
dans le sable à un pied^dê profondeur; mais on le pour-
sui!t>- dans tous; s'es refügës.
Frit daffl" l’hùile ^ ’0 lait5 le1 riz un* des principales
nourritures des-pau\^rèS.^ H®
■ ’§:Wêf^p. m S f et trad. ail.%pT ïyoï !— 2.* 'Aman. ae. f IŸ, pi. 5,
3. Osbeck, lot. cit. *