L e C hironecte iMNTHÈjtE.
( Çhironedtes parâalis, nob.)
avons reçu dp lf ; rade de Grprép, par M.'Raug,
un autre petit chârcai§dtes
E,epremier filet est Crôs^gf èle' et n’a que le cinquième de la longueur
totale;“ uD6ttrèsl^éiitei^npp,e,tie; lanaiisfeaLe second et ^urirbutale
troisième rayon sont très-forts. Sur un fond* rouge tout' h?corps est
moucheté de taches no^trés ou grisâtres» e|, en outre»
grand nombre dé peints et d’ocelles noirs très-brillants, qui relèvent
la (louleur du poisson. Trois des plus grands sont sèr le bord de la
’ secondé’dorsale; on en voit en même^nombre et de même grandeur
sür là caudale, sur l’anale et sur le coté interne de la pectorale
, et il y en a deux petits sur la ventrale j un autre, pl#s grand,
et dont le cercle est bien tranché, existe rèüs le milieu dre la base
df la secohdédorsale. D’àûtrés, plus petits, sont éparilur le coi*ps.
L ’in div idû a deux p ou ces et d em i.
L e Ch i roneÎét^e pav o f t n .
( Chirçneçtes pavonmus , nob.)
|ie. C ab in et de Vuniversité de Ocettingué en possède un,
a u les ocelles s<*nt encope arrangés un peu différemment.
U y en; a-#sBX! petits ;snr
un plus grand sur sa partie postérieure; un sur le flanc éh avanç de
la pect^mler c t un derrière; deux Sur l’anale, et Quelques points
noirs SUf' laïd^^ilfj;,,. v--s gfeg d J a <■. _ ... n ■ ys1$|
Ite*,cooes est rouge,/^grandes marbrures vefdâüe|, ponctué de
vert, surtout sous-ïe ventre. Les oceües sont d’un noir profond,
bordés de blanc. Les boff||des nagècnfes ïopt'blancs.
ƒ ai vu et dessiné'Jaurès nature * ce cbironecte lors de
mon passage à Guet-tingue én 1828 $' quand faiWomp'ffgné
M. A. de Hum^olSl^ ^
L e ChIRONEOTE VARIÉ.
( Ckironecies wiriégatus, nob.)
Nous possédons un autre cbironecte,
d’un roux qui paraît avfiir été nuageux, à une tache noire et ronde
.sqp^fcase même de l'anale* m quatrième ,rayoo. OU aperçait quelques
autres taches, ïnoins- nettes, sur sa dorsale et sa caudale, et
quelques points de la même couleur^ divers endroits du porpfeSon
troisième rayon libre paraît avoir; été court et attaché de près.
Nous ne pdüvpns décria l^s deUx ,premiers, qui sont mutüés.
L’individu est long de Six ponces, et desséché, en sorte
que nous ne pouvons parler non plus de ses appendices.
On trouve.dans les papiers de Coimnerson une phrase
cosçiP<^|si : jÂn t eMn ^ri us; gçhieonègtes,■ rubens, ma~
cutis ntgris irteçfjuïilibus raris inspersus;; mais la deSêrip-
tioh'psCfëstëe eirèblanc. Parmi les dessins du même natu-
ràlistê iïeu'eàt un sans étiquette*'qni parait correspondre
à qette phrase; il,est gfis, avec des nuages roussâtres et
quelques tâches noires éparses, dont une sur l’anale., une
sur la d<#saïè, mâts aucune sur la queue. Son premier
•rayon est long et trè^grêle; le seconch court, obtus et un
y plus long que lé premier et arissi
un peu arqu^IÉt^ëtenn dlâSfeâ pré^parsâ mémbrane.
C’est d’après, ces deux docuûiens que M. de Laeépède a
établi son espèce du lophie cbironecte ( 1.1, p. 32,1, pl. 14,
£g.- 2), à laquelle nous sq-upçonnons beaucoup quappar-
tient l’individu que nous. venoi|s> de décrire.
Il nous paraît évident que pest aussi le même poisson
Shavfr a représenté sous le nom de lophius pictus, dans
son iSfaturalist’s Miscellany {pl.,176, fig. 1 ), et dans sa