toJaÈetâÊÊËËk sçq^u^au plus |ÉÉ^9^iSËÉ^MÉÉ^^
La nofiitje de soij préapercule trois épines. S§nkprgjpieç, rayon
dors^l n’a guère que lev>double de la hauteur du trqn.c .$§£& lui, et
ne se prolonge pr^qup pa^hctfjsdç la mepbranq Toute ^deuxième
dorsale égale ce premier rayon de la première.et même le surpasse
un peu. L’anale if a pâs moitié de sa hauteur.
îiïlD, 4' 4id||ÜL Î8| IStqerjaîeR double, etc.
Le fond de là couleur .p ^ it pliyâtre, aveq six qu sept .larges
„ handes verdcdes, noirâtres t nuageuses ep_ir;régultèFes% Tout le des-
snpsdft, la^porge pntrp Jjpfiches/çlp |a^inâchoiré inférieure est
( Ar^jr ' j pd j^ â l^ n t
blanchâtres et (un peu liséi^ee^ : sur la jpuepn euyoù., d’qblongues,
.nM i^ .fb ^ em ^ t jJ k ^ é&-Qfcijrui^oude j il y en a aussi
quelques petites sur la base de la pectqmuÆt dé la ventrale. Celle-ci
a a son bord, Sur lés t r o i s r a y o n s , une large bande M ye.
Il y a quelques points noirs sur la pècrorale. Ladeuxièrfié aorsaïe a
dans chaque1 intervallé^l’rayon qubtré%ches ovale» noires,^e qui
lui en fait quatre rangées longitudinales-; drdiséës obliquement par
“ des lignes de pèhtes‘;tàchésoŸaléSÿ:l|séJéés^
nues ; lesquelles lignes, montent obiiquementieU^âYanpf; KLa
p/emièrç dprsalea la même cqloratipn, mais moins régulière.
L’anale a six lignes nacrées, longitudinales, très-fines-, et le bo„rd
’ de petits' points -fiacrls
de h ru^ é tn dèüx lignés fertuÉles de ^nts%ôi¥âtfésr: 11
Sa longueur est trois poticIsV
N o^ çn vojojQS une bonne fimre chms riconog&phie du
Régné animal (JPoiss., p l . ^ èjg» 2) f a i t e 1 individu
déterminé par ûous, et que goqgjwQqs p ^ e t é J T Guérin.
■* * Ze^ÇÀLbfiDNtME LACEÎtT.
4 f (Zallionyrnûs 'Ûicertd, no*b.’; Callibnfmus^kstiyus, Pall. ;
Cqllipnyriwasï gdminabiMf* JU$io; )
Cette charmante espèGP ? 1 l’un des plus jolis poissons de
1% mer, est précisé‘rnenfcellequê{Rotidelet a représentée
(1. p. 3o4 ) sotos lé nom de lacert en françaisr et
de dracünculus en latin, et dont on s'ést obstiné 'à rapporter
l’image aü «j' ^rrt/ àUssi la éHtiquait-oh sans
cesse^omme inexacte, comme ncifFrânt qüê fàçpremière
dorsale,'ètc."’Cëst au contraire la deuxième que l’on y to it
plus distinctement, pare<5 quen effet c’çst elle qui est la
plus grande, ç f quîseule a,des rayons prolongés; mais la
première y paraît aussi, quoique un peu confusément.
D’ailleurs lad ëscrip don que Rond éfe t en donne, b ien meilleure
que la plupart de, celles;de son livre, ne peut laisser
aucun doute,- et n’aürait pu prêter à; aucune équivoque.
' C’est aussi ce poisson que Pallas a décrit sous le nom
de 'eülliiMjrhüs^èstipïis > ët Risl#- ( 25 édit.,; p. 1264 > pD 6,
n.° 11) épus celui Hè callionjtnus admirabilis5 épithètes
itiéritees fu n ep t fàutré par les belles broderies .qui décorent
ses flancs-et sesdorsales.
Ç.’est également celui que M. de Laroche a décrit, et
représenté * sous le nom de callionjmus pusillus. fïous
riohs em shrhmes assurésnon^seulementparsa figure et sa
ilêS ê fip li« , qui sont Mtès un péu légèrement, rirais par
l’échantillon même qui lui a sérvî êt qui est conservé au
Cabinet du Roi.
? Sa têtef esl un p’èu large et courte. Il y a trois épines à la pointe
de son préopercule. Sa première dorsale n’a pas son premierFrayôn
plusélevéque le trône sous elle ; la deuxième est pins haute, sur-
totttien arrière, et déplus seg detp; premi©FS*' ray<M^ s’^âlongéat en
fils qui Ont les deux tiers de la longueur du corps ; le trorsièifie et
» le quatrième se prolongent aussi quelquefois -, les deux derniers; (car
il .n’y en a que ;six);sbùtieûnent la pointe de la nageoire. La Caudale
est pointue et a près du ders de l'a longueur totale. ;
1. Zoog-ross,, t .lll, p..i46. -r- 2. Ann. dû Mus., t. XIII, p. 33o, pl. 25, fig. 1 6 .