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et son pays natal ne nous est pas connu. L’individu n’a
pas. tout.4 * - faitcinq pouces de longueur. Bloch ne dit
pas non plus d’où venait le sien, qui n était pas plus grand.
Le B atrachoïde po n c tu é .
( Batrachus punclulatus, nob.1 ) ,
Le batrachoïde figuré:par Spix, et décrit par M. Agassis
sous le nom que. nous lui aviôhs communiqué, quand il a
bien voulu soumettre les planches de^ce grand ouvrage à
notre examen, pour la détermination des espèces encore
n on nommées par Spix, est une espèce bien voisine du
batrachus sunimarensis.
W Le nu de la tête, les écaillés du corps, les tentacules des narines,
les barbillons de la «.mâchoire inférieure, sont semblables. Tout
le corps et les nageoires sont couverts de taches noires de différentes
grandeurs. La tête*n’a que des points noirs, serrés% très-
nomBreux* Le fond de là couleur est brun-ùlivâtrë sur le dos et
jaüne pâle sur lès nageoires.
D. 3 — 21; A. 1T;G.4 — 40-^4 ; P. 22; V. 5.
M. Agassis dit que les ventrales *6nt cinq rayons. Je n’en trouve
que trois dans tous ceux -que j’ai examinés.
Lés individus conservés dans le Musée de Munich- sont
longs de dix pouces, et ils ont été pris sûr lès Côtés de
l’Atlantique.. ■
Le B a tRACÔOÏDE BARBtJ.
( Batrachus barbatus, nob.*; Batrachus cHdactylus, Bl. Sçhn. )
Bloch met en tête de son. genre batrachus, et nomme
batrachus didactyTuè, une espèce de la côte de Guinée,
à çoïps écailleux, dont la-dorsale l’anale ont les mêmes
1' Agassis apud Spix, Fisc. Bras., p. tSof pt«7i*
C H A P. 1V. BAT R ACH O TD ES» 3 7 4 "
nombres de rayènsyet les valves dperculaires le même
nombre d’épines que dans notre batrachus conspicïllum,
et il en donne une longue description, que Schneider a
encore augmentée d’un long supplément ^ mais Cès deux
auteurs* ne se sont attachés,'comme il n’arrive que trop
souvent, quà des caractères commun^ à'tous les batrar
choïdes^en sorte qu’il n’en .résulte rien d’où l’on puisse
conclure avec certitude si c’est une .espece particuliere.’
Mais grâce a la générosité de, M. Ochtenstem, nous ayons
pu encore éclaircir les doutes qui restaient à son sujet.
’ Il se distingue de .tous, les préqédens par la simplicité,des lambeaux
charnus de la mâcttoir^ipférieure. Il y e.n; a douze de ©haque
côté de la symphyse, et en arrière a ou s la branche de la riàâehpire
une petite série de cinq, de chaque, côté. Cette .disposition, assez
rcgtrtièrè., m’a paru devoir être nôtéeLÜTl autre petit barbillon,
simple et pointu, est â l’angle de la' mâchoire ;'il y en a un court
et palmé au-dèyant de là naFiQe. Lès qeiits, sont fines ejpsërrées; Lés
trois premières épines de la dorsale sont bien cachées so.us la peau ,
qui* ëst-couverte ;de petites écailles^ enfoncées çorhme des points
sous le derme. La tête nue &jdes petits traits nombreux, qui forment
une sorte de vermieellures remarquables^ sur- ces nârlies. ?
Déjà Schneider avait remarqué que la .vëhtrale 'a trois rayons
comme les autres liagëoires. C’ëst pour ne pas perpétuer r^rreu'r
' de,Bloch que nous avons changé lé nom spécifique du poisson.
B. è; D. 3%s2Î--J^ 1 5 13 P’. t ^ V . S.
Bloch, qui a oublié la premiërel>oorsîale, compte, sauf les ventrales
et les rayoiià branckiostëgèSpà peu pVes'Votnine nous.
]B. 5yD?'20 PL Î6;rc.lfÏ2 ; P. 22 2‘J
La couleur du poisson conservé dans le M,u.sée de’ Berlin, est
déVeîmè jàhpâtfë èimoloeêf mais il * e^scafe
son a!ïétéÿ décoloré par lhotioîpdel’aleool. p
Ce t induite Cst ; long; 4 è IwSvponcer et dèim^ét laige’