; des points blanchâtres; épars et une ligne de m$me teinte. sur une
partie de la base. L’anale est pâle etra le |)QW^;d’»A noir^-Mfultre.
Les auire&'na^eoires .ont :des points noirâtres- à leurs-toyons, sur
quatre rangées, aux pectorales; et à la caudale; ils sont irrégulièrement
disposés : sur les ventrales.
Notre individu'venu de Naples’est long de deux pdùces.
(Jest aussi la dimençion de' celui de M. Lesueur, qui a
été pris sur lè' “ de. Nice/ ‘
Beuxautr'éBn&ividus ’.venus de'mples en même temps,
et qui ont les mêmes" formes, les-mêmes nombres défrayons,
à, peu près la même^ofôration, maêf^.ont la deuxième
dorsale va en s’abaissant en arrière, au lieu d’y faire la
pointé’, nous paraissent des femelles de-la même^eÿèce.. r
. L e Callionyme belène. _
' QCallionjmus heiemis, ftàsso.;)
Kous-avons de la^Miéditerranée un autre jEaÜiopÿnç-à
huit rayons à la seconde dorsale, qui nous paraît eelui
que : M. Risso àéfcrit sous le nom dé' b eleriu& {± * édit.,;
p. â 6 3 ) , quoique le vrai ÿ e len u s Rondelet'(1. V II, cli 7,
p. 2 1 4 ) nous paraisse plutot^notre ca llio n ym iis S u eu rii.
J l a exactement la même forme, les marnes nombres de çaypns
que le callionymus Rissoi; son a^ale^est également „bordée. d>n
noir bleuâtre;1sa' deuxième dorsale a aussi sur, sa base_des traits
longitudinaux blancs eudes points bruns; mais.;son, .corps est en
entier d’un cendré pâle, varié'çà et là de quelques poimahrunâtres
ou jaunâtres, peu apparens. Il .y a des. points/semblables ,sur les
rayons-de la caudale, et quelquefois aussi sur ceux. ,d,e la pectorale.
Dans le frais les côtés .gint une teinte argentée. |
Nous en avons des individus de près de trois pouces :
on les a envoyés de Nice.
II. serait très^-possible que’ ce ne fut qu’une variété de
couleur. du précédent.!
' Le. mâle: et la femelle de-ce poisson sont trèsdnefi^figurés dans
l’ouvrage du prince de Musignàno. Le mâle est grié j pointillé dë
. noMtred.la.vent-ràfe, l’anale'et}|S^caudale sont bordées;de noir:
quatre rates plus pâles, traversent cette dernière nageoire. La , première
dorsale tôt foncée^ la seconde, transparente, a près de sa
base .une rangée de points, n oirs,,et les deux dèrniérs rayons pro-
longes en sôie. Ils n’existait p^s'dàns la fern’éllë; qui âses’nagédires
plus tasses eî un peu aiitreinënt' colorées. La seconde dorSale, très-
mM W dBé? rangéés dfe poiotS ’presqûe ëffacéës. La''dâudâle a?oihq
bandes pâles, presque égales; de ton.' La pectorale y la ventraleet
l ’ànalésQnt grises, sans tacbes ni bordures:
Je pense même que le callionymiis Morisonii de M.
Ris,sq4p.e édit.; p. 26$), qu’ilavait nomihê'lfabord callio-
nyme ,JlèçherJ^^JZ édit., p., î^j^, ne diffèje. point dej ce
bèlenus : à la vérj^é, il lui attribue neuf rayons,à la^econde
dorsale, et même s<j. figure*{pl. 6, n.° ta), lui en marque
dix; mais R.peut avpu'GOmpté' lè! dernier pour .deux; et
quant au filet qui termine ,cette deuxieme, dorsale, à en
juger par la figure, il. n’a rien de.plus que ce; que j’observe
d<ms. beaucoup d^dividus de belenus.Jue reste de la description
neiconcerne que les couleurs, et se- go®ciliérait
très-bien avec ce que montrent eneofé ïïOS individus conservés
dans la liqueur.' 1
| DES € A L L ION: Y MES' È am-ÀNG'ER S*. 1 p
La mer Atlantique ne paraît posséder d’autre callionyme
que le douceç, qui n’habite même qu’une partie assez
limitée de ses côtes. L’Amérique, : dans aucune de ses