2 2 6 V i LIVRE XIV. GOBIOÏD'ESi
qui se mêlent en partie les uns dans les autres. La première dorsale
est d’un noir„prof©nd$ les autres nageoires o.nt dès-points bruns spr
leurs rayons, excepté l’anal^ qui est d’un fauve clair égal, comme
tout le.deskius. . •,
Nos individus nont que trois pouces.
Nous rapportons ip.ce poisson le caÜioxiymus SagUtèf
âécrit par ^ l a s ’ j.giLfO^qu’il ne paraît.en dijgçÿ quçpîrç
les eouleurs. Ses formes, les proportions de ses parties, ses nombres
de rayons, sontlg^. mêmes; seulement il estten dessus d’un brun
assez uniforme; ira sur les côtés des taches noirâtres, et sa première
dorsale est blanché,’ Wet; Une bâüdè hôif&lre. Il ƒ a’dés points Bruns
sur les aptres nage<çhï^s, l’anale excepte » .qni # 1 Wanchâ^ijlt
Un des individus, de Pailas, venu d’Amboine, était long
de trois pondis, et avait au b out de la queue un filament
membraneux qui manquait aux autres.
Noüs nem-avons qu’un de deux pouces ,„e.tqui manque
aussi de ce filament , mais qui du reste ressemble complètement
h ôéifcijde PallàS.
Il à étéJeKûvo1ÿé de Bourbon par M. le baron'Myliùs.
• L é Calliowïme]3A COr^te simple.
( Callioîijmùs simpliçicomis> nob.V
MM. Quoy et Gadmard ont pris à l?île Guam un très-petit
calliohÿmè, à peii prés dé la fottfie- du précédent 5
à tète êependârit î'un peii pltïs ,Mét :à |mïséaii un peu plus
pôîhtu,^âénf^rèplhe pftdpèéci^i^l a les det^ntés si petites qu’il
faut une loupe pour les distinguer, en sorte qu’elle parait siniple à
; l’oeil nu. L'es proportions des nageoires sont lès thèmes ; mais îl ÿ a
un rayon de nibins à la deuxième dorsale et à l’anale.
'■ D. 4 1— 8; A. T*eîc.~
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