nantV §ous le nom de tachetéj il croit que c^est Xaphya
de Rondelet. Schneider le cite comme synonyme du gobius
ûphya, et il est tf^-vrai que la'figure ftaphya de Rondelet
(p. ^ o ) lui ièssemblebeaucoup. Cependant, commPnoùi
Savons jamais reçu cette espècC'de la Méditerranée j-nous'
hésitons à adopter cette synonymie. Dans aucun cas ce
ne pourrait être ïqpbya teh que le déficit Linné ,ràvec
dix-sept rayons à Ja deuxième dorsale. C’est plus sûrement
le gobiusalbëscèns pinnis uîfisYjue dorsalibus altitudine
oequalibm> de Gronbtius. *
La descriptiéai qu’il en donne ne peut laissai âaiun
doute r quoiqu’il le confonde aussi* avec l’aphya* de- Ron-
ddet$giç0?le-. §çbie%lan$ élu même auteur,, qui est ùrié
blermiïl^^jqvd |||L$gg
Mais je ne sais ?er quel fondement on a, pu«penser que
coest le jgoèms- minutus de Pallas^-eariTiouË ©e^qUCi PàMas
dit de oeigobim mimitus5, c’est qu’il le croit très-diffé-
reüft/de' Xétb&sp&ïS de ".Gtbnovius \ ét il n’èU" dbrirnerd ’ailleurs
hî dëstWption. ni figure.
Je devine, encore moins pourquoi Bloch, ' dans s-On
Système posthume s en 'fait un
La têléde*ee’gSbiê1 à^e 'qÿàrt de la 'léhguëür iôtaie, mais elle^ést
plus étroite qu’à beaucoup d’autres espèces. Sa hauteur TrçfPqde
moitié de sa longueur, et- c’est à péiûë? si'èlle â quelqué'Çliësè de
plus en largeur. L’oeil en occupe-le second quart. Sa mâchoire, inferieure
est unpeu p lui ^gÿi^éeque l ’.au|rej sa hauteur, aux’pectorales
est un peu plus de six fois dans sa longueur. Sa ventralè n’est attachée
- que sôas lg tiers antérieur des peOtorâlés. Ses dorsales.n’ont, que
la hauteur, dûjcorpsj et, la secondé étant assez courte, l ’espace entre*
1. £At. Zool, n,4 06 et pl. 3jw— 2. Zoogh. I ,|p ^ 8i ,• ni* iiik. — 3. Spfyil-
-yïSkl£t 'Bi.JSdhÉr.ÿ pr É , n :
■ elle; ; 1% pqu<3ale est de, plus du «sixième de la longueur totale. Du
reste ses formes sont les.mêmes cpie dans la plupart des autres gobies.
Il n’a "pas rayons ^eÿlés^ux. Rectorales,.-et je n eM vois de
lignes de pores ni à la joué ni a la nuque.
B.?6 -2 i/10;' A. 1/iof-C. 13; V. 19; V.'1/5. j
Sa teinte géniale est gr^âtre,ou} % v e clair. Son dos est semé
de.tfès^ÿi(s points bruns ou npiratres nml prononcés. Ses dorsales
'.,aetisa f S a l e ont dés points bruns sur lèurs rayons.’ La première
dorsale a souvent êntré Ses deux derniers, vers le bord; une tache
noire ou noirâtre mal terminée. |
fSos incfÿidus qé passent pas trois pouces.
"ï ueSe^^^ les côtes de Basse-
]N/ormanclie? Dd-tamel l’a- repré^nté sous cë nom1, et
M. Deslongchamps/ professeur d’histoire naturelle à ïa
faculté dés’sciencesjle Caen, a qui nous nous étions adressés
nSJr âvSr la buhoite, l’a troqve^énçarènqmmée ainsi par
les.ûechems. ^ - , - §
^oiis^TOyons par une lettre de M. Feray à M. de Lacé-
pèdg/ que vers l’embouçhure de la Seine, où l’on en prend
^^^&ùn^jQe^nomme boïirgiiétte.
^La môme.lSèb nous a été^envdyée de La Rochelle
parfÊ; d’Orbîgny? ^’Abbeville par JJ. Bâillon , et, je l’ai
'^^Yônt pêçqlôîa Dieppe. t ^ f
Pennant®, Ta, vu prendre’ en quantité dans les filets â crç-
sur les çQ^ksablqnneusésL du payg de Gaues, dans
, et M. Donovan? notjsj apprend .quit y en a
Aoutg,l’année dans la baie de Beaumaris, efface de file
d’Ân^esei> près de l’embouchure de la Saverne, et en
d’àutfés'endroits "de l'Angleterre" on en vbit souvent avec
S. Brli. fiske$yïïr pL \3§., ;